10 octobre marque la journée internationale contre la peine de mort. Aussi ce week-end au perron de l’église de Crest, le groupe local Amnesty international de Crest, la corde au cou et visage anonyme, rappelait que derrière chaque exécution se dissimule une histoire singulière. 142 pays de la planète ont aboli, en droit ou en fait, la peine de mort, un chiffre qui chaque année croit de quelques unités. Ainsi, tout dernièrement, l’état de Washington et la Malaisie.
Mais de grands pays, le Japon, la Chine, qui fournit le plus important contingent de peines capitales – leur nombre exact, secret d’Etat, est inconnu – ou encore certains des états des USA, maintiennent cette pratique barbare qui les exclut du monde civilisé. Faut-il rappeler que Guantanamo, , où se pratique la torture, reste une souillure actuelle en dehors de tout cadre légal ?