Ce témoignage est arrivé de Téhéran aujourd’hui, après une longue periode de relatif silence, où mes proches se contentaient de courts messages presque creux, comme trois coups frappés sur une cloison pour dire « je suis vivant » . Il aborde notamment le sujet des empoisonnements dans les écoles. L’auteure est directement concernée mais a choisi de rester vague pour des raisons de sécurité.