Alors que depuis 19 mois, les militants pro-palestiniens en France ont été traités de tous les noms, traînés dans la boue, assimilés sans cesse à des antisémites, réprimés judiciairement et policièrement, leurs luttes paient enfin en partie, puisque ceux-là même qui les incriminaient en permanence tiennent désormais peu ou prou les discours de ceux qui dénonçaient l’action israélienne dès le 7 ou le 8 octobre 2023.