C’est le grand retour de la génialissime navette autonome de Bertolami and co :
Sur le Daubé, on apprend que la navette électro-numérique autoguidée veut revenir s’expérimenter sur les routes de la Vallée de la Drôme : Une flotte de navettes autonomes va partir à la conquête de la vallée de la Drôme
Des infos sur cet engin sur le site du constructeur Bertolami :
https://navette-autonome.fr/
https://navette-autonome.fr/deploiement/val-de-drome/
Bertolami a des agences à Valence, Romans et St Donat
- La navette électrique autonome sans pilote Ecocite de Eurre / Crest : une technologie à abandonner
- Les hautes technologies ne seront jamais écologiques ni démocratiques
Retrouvez notre article d’avril 2021 : La navette électrique autonome sans pilote Ecocite de Eurre / Crest : une technologie à abandonner - Elus, industriels et « écologistes » médiatiques veulent continuer à tout prix le même système désastreux, en le « modernisant »
Bertolami a fait son business dans le tourisme motorisé, cette entreprise est située dans la Drôme des Collines :
Autocars bertolami - 30 Avenue Gambetta - 26260 Saint-Donat-sur-l’Herbasse
Après avoir bien pollué les routes de France et d’ailleurs, après avoir contribué aux ravages du tourisme, Bertolami se lance dans le marché à la mode du véhicule électrique autonome, avec tout le blabla typique du capitalisme "vert" qui sonne bien auprès des élus et des "écologistes" adeptes de la sauvegarde à tout prix du système techno-industriel.
Avec Bertolami, la navette « beti » et nos cher élus, continuons le monde machine productiviste qui détruit le vivant, la condition humaine et le climat, mais avec des jolies machines électro-numérique soit-disant décarbonées, économisons l’énergie pour que le système industriel dévastateur puisse s’étendre et durer plus longtemps, délocalisons les mines et les usines polluantes loin à l’étranger pour que nos villes smart respirent le « propre », faisons des petits efforts individuels de consommation pour que les ultra-riches puissent continuer à se gaver par milliards et pour que les usines ne soient pas à court de matières premières pour leurs chaînes de production industrielle.
Avec Bertolami, faisons en sorte que l’écologie devienne un très bon argument marketing pour vendre toutes les saletés techno-numériques et le nucléaire qui renforcent la mégamachine et ses ravages.
A défaut de faire de l’écologie pour la vie et les écosystèmes, développons l’écologie des machines, de l’argent, du numérique et du pouvoir, l’écologie industrielle. Traitons les restes du vivant de la même manière que les usines et les flux logistiques, comme des composants parmi d’autres du monde machine à optimiser.