Contrôle des gendarmes dans le magasin Carrefour Contact de Breil-sur-Roya... Un salarié en poste depuis 6h du matin a un masque « mal placé », juste sous le nez... Résultat ? Les militaires entrent en action. Incroyable ! Regardez, partagez, commentez....
- L’Etat policier et la guerre aux pauvres continuent de plus belle !
🔴 MASQUE "MAL MIS" : UN EMPLOYÉ DE GRANDE SURFACE VIOLENTÉ PAR LA POLICE
Le 19 août, un salarié d’un Carrefour de Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes) est violemment interpellé, sur son propre lieu de travail. Pour une histoire de masque « mal porté ». L’employé, qui travaillait masqué depuis 6H du matin, avait alors son masque légèrement sous le nez ! La responsable du magasin se dit elle même choquée de la raison et de la manière dont le salarié a été arrêté.
Comme depuis le début de la pandémie, ce sont les pauvres, les travailleurs, les précaires qui sont en première ligne et subissent en plus la répression ! La menace sanitaire doit cesser d’être un prétexte pour renforcer l’état policier et la guerre aux pauvres.
(post de Nantes Révoltée)
Remarques
Des flics interpellent de manière brutale et abusive, et ensuite ils se plaignent que les interpellés se rebiffent et ne veulent pas se laisser faire sagement.
Chaque jour, le problème sanitaire, la pandémie de coronavirus, sert de prétexte au renforcement du contrôle policier généralisé et de la surveillance de masse.
Il s’agit d’asseoir la soumission et la peur, pour que le pays se tienne sage et que le système désastreux en place à tout point de vue continue sa Marche mortifère.
voir aussi :
- Contrôles arbitraires et violences policières : la répression en temps de confinement - Au 9 avril, au moment de la publication de cet article, on comptait depuis le début du confinement, 8,2 millions de contrôles et 480 000 verbalisations. Au total, 15 millions de contrôle ont été effectués pendant le confinement, qui ont donné lieu à plus d’un million de verbalisations. De nombreux témoins font état d’abus, de discriminations et de brutalités de la part des forces de l’ordre. Les organisations de défense des droits de l’Homme dénoncent des contrôles arbitraires et des violences policières. Tour d’horizon de la répression en ces temps confinés.
Solidarité avec nos camarades de Lutte Ouvrière, toutes les manifs de septembre risquent de connaître le même sort
Des milliers de supporters du PSG sur les Champs Élysées, des milliers de spectateurs au Puy du Fou, des centaines de milliers de voyageurs entassés dans les transports en commun en Île-De-France, ça ne pose aucun problème. Par contre une fête militante et ouvrière avec quelques milliers de participants en plein air sur plusieurs hectares ça met en péril la sécurité sanitaire du pays.
(post FB)
(Note, l’université d’été régionale de LREM n’a bien sûr subi de son côté aucune interdiction)