les lois sont faites par ceux qui s’en préservent. voilà pourquoi tant se bousculent pour la première place, aidés grandement par un ego. ainsi en est il de l’humain !
Toute idée devient partiale si l’on y inclus un nom connu dans le domaine politique.
Tout politicien doit être l’oblat du peuple ( désigné par nos voix, il devient notre obligé), car s’il est désigné, c’est pour une fonction non pour un métier.
Toute insinuation religieuse émet par essence, une dérive dans le développement des idées. Car en toute religion, il y a des devoirs restrictives ; pas de places pour la remise en cause du dogme, donc partialité et Soumission fait un bon croyant. L’humain libre de pensée, peut sans heurs concilier foi et devoirs envers ses fonctions aux services de la communauté.
la communauté doit mettre dès maintenant l’homme 2.0 en chantier ! les recettes ancestrales des structures communautaires sont au bout de leur logique ; la surpopulation enrichit la diversité mais par mécanisme étouffe l’aboutissement plénière d’une société qui se veut égalitaire.
La révolution est un devoir et un mot , mais prenons garde à ce que l’on peut faire dire aux mots : une promesse est un engagement, il devient alors détestable de se voir acculé à la désillusion parce que il parait que :« les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».
si l’on veut croire en l’avenir, commençons d’abords à en élaborer les bases avec de nouveaux outils !
en résumé, l’homme qui impose n’évolue plus.