Culte IA : mélange civil/militaire, milliards, énergies et matières premières gigantesques

Des IA High Tech alimentées par des centrales à charbon

mardi 11 février 2025, par Antitech 26.

Pendant que la plupart des civilisés sont complètement fascinés par le nouveau joujou culte & dangereux mis entre leur main qui accentue leur dépendance aux machines et la destruction de la biosphère, eux compris, d’autres contestent les ChatGPT et autres rationalités cybernétiques, les mal nommées IA.
Car si les data centers ne sont pas compostables, les tyrans techno-fascistes et autres capitaines d’industrie eux le sont encore, tant qu’ils ne sont pas devenus cyborgs.

A la course aux machines attractives, à la performance innovante, aux armements et à la productivité compétitive, les humains, même (dé)calqués sur les machines, sont fatalement perdant-perdant.
Au techno-capitalisme punitif et ses machines algorithmiques qui dévorent le monde et facilitent les régimes totalitaires, préférons des sociétés vivables et soutenables, agissons pour qu’elles adviennent (première tranche de 450 millions d’euros).

- NOTE :
La Drôme est aussi dans la course à l’abîme : l’entreprise marseillaise Sesterce, leader français du cloud computing, veut implanter un data center nouvelle génération dans le parc d’activités Rovaltain à Alixan, à côté de la gare TGV, dans les bâtiments de l’ex-pôle Ecotox, véritable hyper-calculateur, il sera équipé de 40 000 GPUs (processeurs graphiques) et constituera une infrastructure stratégique pour l’entraînement et le déploiement de l’intelligence artificielle, en partenariat avec bioMérieux.
Tout va bien dormez tranquille, puisque le site bénéficiera des dernières innovations technologiques en matière d’efficacité énergétique, notamment un système de refroidissement par boucle d’eau fermée permettant la réutilisation de la chaleur produite.
C’est évidemment un projet « structurant » « créateur d’emplois » que les élus adorent, Daragon en tête !
à suivre...

L’EHESS bloquée pour protester contre le Sommet de l’IA

Communiqué de l’Assemblée Générale Anti-Industrielle Parisienne (AGAIP) relatant les raisons du blocage qui a eu lieu hier matin sur le campus de l’EHESS.

L’objectif était d’alerter les étudiants et les professeurs sur les dangers de l’IA à l’occasion du Sommet pour l’Action sur l’IA qui se tiendra les 10 et 11 février au Grand Palais à Paris.

La multiplication des datacenters sur le territoire mène la société entière vers un mur énergétique. Par ailleurs, la dérive autoritaire (voire totalitaire) que nous observons partout dans le monde est fondamentalement liée à la fuite en avant technologique que nous imposent les industrialistes.

L’AGAIP
- Communiqué avec liens et photos : https://www.antitechresistance.org/blog/blocage-ehess-agaip-protestation-ia

Culte IA : mélange civil/militaire, milliards, énergies et matières premières gigantesques

Salle comble pour le Contre-sommet de l’IA organisé par Anti-Tech Resistance

Dans le cadre du Contre-sommet de l’IA, le mouvement néoluddite Anti-Tech Resistance (ATR) a réuni environ 200 personnes samedi 8 février pour son après-midi de conférences dénonçant l’intelligence artificielle qui se tenait à la Bourse du travail à Paris. Plusieurs journalistes étaient venus couvrir les conférences de la dizaine de collectifs technocritiques et écologistes représentés lors de cet événement.

Laura Hurot, une des figures de proue de la résistance à l’IA dans le secteur de la traduction, a dénoncé la précarisation du métier, la destruction de savoir-faire et in fine la dépossession engendrée par l’intelligence artificielle. Des propos qui font indéniablement écho aux revendications des ouvriers luddites en révolte contre l’introduction de nouvelles machines dans l’industrie textile au XIXe siècle.

Le représentant d’Extinction Rebellion a dénoncé le greenwashing martelé par les techno-solutionnistes qui prétendent mettre la technologie au service de la sobriété énergétique et plus généralement de l’écologie. Ces derniers dissimulent les effets rebonds, phénomène connu et bien documenté dès le XIXe siècle par l’économiste britannique Stanley Jevons. Floriane Didier de l’association Lève les yeux a dénoncé l’altération des relations humaines et du tissu social qu’engendre l’utilisation croissante des chatbots carburant à l’IA.

L’Association Française Contre l’Intelligence Artificielle (AFCIA) a estimé qu’un cadre réglementaire pour l’IA n’avait aucune chance d’être mis en place par les États pour plusieurs raisons (conflits d’intérêts, corruption, compétition mondiale) tandis que Valentin Martinie, du journal Le Chiffon, a de son côté insisté sur les risques pour la liberté de la presse.

Les Amis de la décroissance ainsi que le collectif Écran Total étaient présents pour rappeler que le progrès technologique nous dépossèdent constamment des savoir-faire low-tech et détruisent les communautés solidaires qui sont la base d’un mode de vie démocratique et écologique. Le représentant du syndicat Sud Culture Solidaires a évoqué un autre point essentiel : l’absence totale de débat démocratique dans les entreprises lors de l’introduction d’une nouvelle technologie. Le progrès technologique s’impose à nous, dans notre quotidien et dans notre vie professionnelle, en raison des dynamiques systémiques et de la volonté de la classe technocrate d’étendre et conserver sa domination. En d’autres termes, nous n’avons pas le choix, notre impuissance est totale.

ATR a clôturé l’après-midi avec une conférence intitulée « Comment stopper l’IA ? » où nous sommes revenus sur notre proposition stratégique. Preuve de l’intérêt pour ces questions et de la montée de l’inquiétude au sujet de l’IA, de nombreuses personnes du public sont restées après les conférences, sur le trottoir et dans le froid, à discuter avec les intervenants et les membres d’ATR présents sur place.

‍Pour rappel, le point culminant du Contre-sommet de l’IA sera le rassemblement organisé par l’Assemblée Générale Anti-Industrielle Parisienne (AGAIP) le dimanche 9 février à 14h devant le Grand Palais.

Fondé en 2022, ATR est mouvement néoluddite légal et non violent pratiquant la désobéissance civile. Il milite pour la mise à l’arrêt du système techno-industriel, seule chance pour l’espèce humaine d’échapper à une extinction certaine.

Anti-Tech Resistance
- Article avec liens et photos : https://www.antitechresistance.org/blog/salle-comble-contre-sommet-ia
https://www.antitechresistance.org/blog/contre-sommet-ia-paris

ATR s’invite au Contre-sommet de l’IA d’Eric Sadin et Anne Hidalgo

Dans l’après-midi du lundi 10 février se déroulait au Théâtre de la Concorde le Contre-sommet de l’IA lancé par Eric Sadin. Alors que les militants d’Anti-Tech Resistance (ATR) mènent depuis 9 mois une campagne de terrain contre cette technologie mortifère, nous n’avons pas été conviés à l’événement. Pire, les organisateurs ont convié la maire de Paris, Anne Hidalgo, grande fanatique de la ville « intelligente » et de la startup nation. C’en était trop, il fallait intervenir. Peu avant l’arrivée d’Eric Sadin et d’Hidalgo, un groupe d’anti-tech a rapidement envahi la scène afin de prendre la parole devant un public de 300 personnes.

Anne Hidalgo n’a rien à faire à un Contre-sommet de l’intelligence artificielle, elle qui défend la Smart City dopée aux IA, elle qui promettait de faire de Paris « une capitale européenne et mondiale de l’économie numérique » et qui, lors de la campagne présidentielle, comptait faire du numérique une « odyssée » industrielle prioritaire. De plus, Hidalgo n’a manifesté aucune opposition à l’installation de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) à Paris lors des Jeux Olympiques 2024. Hidalgo, membre du parti socialiste devenu expert dans la trahison de toutes les luttes sociales depuis des décennies, n’a définitivement pas sa place à un événement critique de la technologie.

La solution ne viendra pas des États ni des partis politiques qui sont contraints, pour des raisons systémiques et géopolitiques, à nourrir la folle fuite en avant technologique. Comme le répète ATR depuis sa fondation en 2022, la seule solution réaliste et techniquement faisable pour mettre fin à cette course suicidaire, c’est de débrancher l’IA, de mettre à l’arrêt le système industriel. Nous avons besoin d’un mouvement capable de s’affranchir des enjeux électoralistes pour sortir du cercle vicieux qui mène l’humanité à sa perte.

- Suite de l’article : https://www.antitechresistance.org/blog/atr-contre-sommet-ia-sadin-hidalgo
(Le Monde parlait de cette rencontre du 10 février avec Eric Sadin)

DeepSeek, une IA moins énergivore ? Les experts en doutent

- DeepSeek, une IA moins énergivore ? Les experts en doutent
La consommation énergétique de l’intelligence artificielle explose aux États-Unis. L’arrivée de DeepSeek et de son modèle d’IA plus économe ne devrait pas alléger l’empreinte environnementale du secteur.

(...)
Les États-Unis comptent près de la moitié des centres de données de la planète, soit 5 381 contre 449 en Chine ou 315 en France.
(...)
Les centres de données du pays représenteront 12 % de la consommation électrique nationale d’ici 2028, contre quelques pour cents aujourd’hui, selon un récent rapport du département à l’énergie étasunien.
(...)
La sortie de l’Accord de Paris dispense les géants de la Tech de respecter leurs engagements de baisse d’émissions de CO2. Engagements déjà bien mal engagés, alors que Microsoft a augmenté ses émissions de 30 % entre 2020 et 2023, et Google de 48 % entre 2019 et 2023, selon les chiffres fournis par les entreprises. Cette fringale énergétique a conduit à la relance du charbon et du nucléaire dans le pays. Google et Meta ont obtenu l’exploitation de mines de charbon pour alimenter en électricité leurs infrastructures. Et un accord a été conclu entre Microsoft et Constellation Energy pour rouvrir un réacteur nucléaire de la centrale de Three Mile Island, exclusivement pour alimenter les data centers du premier.

La ruée vers l’atome de nombreuses entreprises du pays a quand même pris un coup le 27 janvier, après la présentation par DeepSeek d’un modèle d’IA nécessitant beaucoup moins d’énergie. Les entreprises ayant misé sur le nucléaire, notamment les start-up spécialisées dans les microréacteurs, ont perdu un quart de leur valeur en bourse dans la foulée, rapporte Le Monde. Mais la frugalité de l’IA reste à démontrer pour de nombreux experts.
(...)

« Il est peu surprenant de voir émerger des modèles d’IA aussi performants pour une consommation énergétique bien moindre comme DeepSeek. Le paradigme “Bigger is better” [“Plus c’est gros, mieux c’est”] d’OpenAI paraît dépassé, commente Thomas Brilland, du service sobriété numérique à l’Agence de la transition écologique (Ademe). Historiquement, en revanche, les gains en efficacité énergétique ont toujours entraîné des effets rebonds qui compensent ces gains. » Autrement dit, si l’IA est moins chère et moins gourmande en énergie, il y aura surtout plus d’IA.
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Pour prendre la mesure de la gourmandise de l’IA générative, ramenons-là à l’utilisation individuelle. Une requête GPT-3 consomme 4 wattheures (Wh), soit un tiers d’une recharge complète de smartphone, selon les chiffres officiels. « C’est probablement beaucoup plus aujourd’hui », commente Thomas Brilland, qui rappelle également que la génération d’image consomme en moyenne 60 fois plus que la génération de texte.

La phase d’entraînement des IA est la plus gourmande. La dernière version de LLaMa — un modèle d’IA en accès libre — aurait consommé plus de 26 gigawatts-heures (GWh), soit la consommation annuelle de 5 000 ménages français. Sachant que les chiffres des fabricants sont sous-estimés, selon les experts. « Il existe un manque important de transparence sur les modèles d’IA, mais aussi au niveau des fabricants d’équipements. Cela empêche la récolte de données précises et fiables sur leurs empreintes énergétique et environnementale »
(...)
Le coût environnemental de l’IA se mesure aussi aux effets de l’industrie extractive des métaux et minéraux nécessaires à la fabrication des semi-conducteurs. Voire à ceux de l’ensemble du numérique, tant l’IA générative multiplie les usages et les nouveaux objets associés, selon un rapport du Conseil économique, social et environnemental (Cese).

Le développement des montres connectées et autres terminaux miniatures contribuerait à une augmentation de 65 % du nombre d’équipements dans l’Hexagone d’ici cinq ans, selon la dernière évaluation de l’Ademe. Sachant que les terminaux numériques sont responsables de 79 % de l’empreinte carbone du secteur numérique, qui représentait 4,4 % des émissions françaises en 2022.

Autre source d’inquiétude grandissante, les besoins en eau pour le refroidissement des centres de données
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Aux États-Unis, les centres de Google de la ville The Dalles, dans l’Oregon, capturent un quart de l’eau de la ville.
(...)

Les "data centers propres" - Macron invente les data centers compostables

Pendant ce temps, le tyran Macron parle de « data centers propres » en France, sous prétexte que les centres de données sont et seront alimentés avec de l’électricité nucléaire...

C’est sûr que l’extraction d’uranium, le béton des centrales nucléaire, le stockage des déchets nucléaires, les fuites de Tritium, les mines pour les composants électroniques et métalliques des data centers, les transports et traitements de ces minerais et divers composants, les infrastructures de transport de l’électricité et des données, les énergies fossiles utilisées pour faire tout ça, les eaux propres polluées par les industries électro-numériques, etc., c’est super propre.
C’est un peu comme si on disait qu’après une bombe nucléaire ou une forêt passée à l’agent orange, tout est propre, nickel, nettoyé.
Les jardiniers et agriculteurs qui travaillent sur un sol rendu mort disent aussi que "c’est propre".
Dans ce registre, ce serait pas plutôt les instances de pouvoir qu’il faudrait "nettoyer", rendre "propres" ?

DIVERS

  • Usages civils et militaires des IA se renforcent mutuellement, se confondent :
    L’emploi de l’intelligence artificielle à des fins militaires connaît une accélération sans précédent - Les opérations militaires passent de plus en plus par l’agrégation de données civiles ou des services de stockage de grands acteurs de la tech. Une dualité qui bouscule les géants traditionnels du secteur de la défense.
    (...) Partout dans le monde, les opérations militaires passent de plus en plus par l’agrégation de données civiles disponibles en source ouverte ou conservées par des acteurs du secteur. Cette vaste « hybridation » avait surtout pour finalité, jusqu’à présent, le renseignement, mais elle prend une dimension opérationnelle directe, avec la multiplication des guerres, en Ukraine et au Proche-Orient.
    « On se dirige vers une attitude décomplexée vis-à-vis des usages de l’IA dans le champ militaire. Avant, il y avait une série de garde-fous politiques et bureaucratiques qui faisaient en sorte qu’il y ait, en pratique, des digues sur les usages, mais cela est en train de voler en éclats » (...) le ministre des armées, Sébastien Lecornu, a ainsi annoncé un partenariat avec la licorne Mistral AI, très investie dans les secteurs civils. (...) En mars 2024, le ministère des armées avait déjà créé une agence ministérielle pour l’IA de défense (Amiad), dont l’une des missions est d’abattre les cloisons. Partie de zéro en 2024, elle comptera environ 300 personnes d’ici à l’été. « Le but est d’avoir un écosystème qui dépasse la base industrielle de défense », a ainsi déclaré Bertrand Rondepierre, le 6 février, le patron de l’Amiad. « On a un enjeu à s’aligner avec le civil, c’est ce qui va servir nos usages militaires », « il faut travailler ensemble » (...)
  • Ruée sur l’intelligence artificielle : les milliardaires de la tech jubilent
    - Les intelligences artificielles génératives, type ChatGPT, suscitent des investissements faramineux, dopés par des promesses délirantes. Elles renforcent le projet libertarien et technoféodal des milliardaires de la tech. La frénésie mondiale autour de l’intelligence artificielle (IA) générative n’est-elle qu’un vaste miroir aux alouettes ? Une hallucination collective autour d’une technologie largement surcotée, désastreuse écologiquement et qui ne profitera qu’à la Big Tech elle-même ?
    (...)
    « Cela correspond à un schéma ancien : la technologie se substitue au travail humain et transforme les rapports de force. L’informatisation des usines dans les années 1970 avait déjà entraîné une contestation sociale. Les travailleurs pointaient alors un sentiment de déqualification, de dépossession de l’outil de travail, par une technologie qui les pressurisait au lieu de les émanciper. On reproduit aujourd’hui les mêmes promesses technologiques déjà démenties par l’histoire », commente Félix Tréguer. Sans compter les très nombreux travailleurs précaires exploités pour entraîner tous ces algorihmes « intelligents ».
    Dans ce rapport de force social, l’IA servirait également à faire diversion en portant l’attention sur le futur, censé être amélioré par le progrès technique, assimilé au progrès tout court : « Toutes les promesses liées à l’IA sont une manière pour les élites de promettre des lendemains qui chantent, et donc de différer les concessions sociales et les réformes économiques », dit encore Félix Tréguer.
    (...)
    « Beaucoup d’acteurs phares du secteur croient vraiment, sincèrement, à l’arrivée de l’IA générale. C’est une croyance presque religieuse dans la Silicon Valley »
  • Fuite en avant : Macron annonce un investissement de 109 milliards d’euros dans l’intelligence artificielle - « Stargate » à la française : Macron débloque des sommes colossales pour développer l’IA, dans les pas de Donald Trump (avec liens vers un dosssier de 5 articles sur les IA)
  • Citation de Cédric Villani dans un article du Monde : Oui, l’IA n’est pas neutre. Et si on parle de pratique industrielle, il faut évoquer l’industrie de la guerre. La menace numéro un de l’IA n’est effectivement pas le remplacement humain, c’est la guerre, avec tous les « perfectionnements » apportés par les technologies, les armes insaisissables, les dominations exacerbées, et en prime le conditionnement qui monte les populations les unes contre les autres. C’est vertigineux.
    Ce n’est pas un scoop, les budgets d’armement du monde entier grimpent en flèche. Un extraterrestre qui regarderait de loin nos statistiques économiques conclurait que nous sommes en train de préparer la guerre, que nous avons fait une croix sur l’environnement et le climat. Et que nous conjurons cela en construisant des data centers un peu comme des églises. En pensant qu’ils sont la solution.
Culte IA : mélange civil/militaire, milliards, énergies et matières premières gigantesques

Précédemment

Contre-sommet de l’IA : pourquoi et comment résister à la dictature algorithmique
Les centrales à charbon sont le futur de l’énergie électrique nécessaire au high tech

P.-S.

Brochure : Synthèse de critiques de l’IA et de son monde Machine

- Brochure : Synthèse de critiques de l’IA et de son monde Machine - Ecologie, climat, démocratie, vie sociale, surveillance, dépendance..., dans l’IA rien ne va


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