Plutôt que de prendre la mort comme une horrible perspective, ou une fatalité qu’il faudrait dépasser (transhumaniste), ou une fin qui ouvrirait les portes du paradis qu’on ne peut trouver sur terre (religion monothéiste) on pensait plutôt la possibilité de la mort comme une incroyable chance de réenchanter l’existence... On retrouverait alors, peut être, la puissance de l’Utopie comme horizon émancipateur et l’action comme pratique de la liberté.