Pour la deuxième journée consécutive, les vols à l’aéroport de Hong Kong sont suspendus. Alors que la contestation s’amplifie, les autorités gouvernementales ont de plus en plus recours à la violence pour arrêter le mouvement. Le gouvernement chinois menace d’intervenir. Cette stratégie de la peur ne dissuade pas les manifestants, persuadés que s’ils arrêtent leur mouvement cette fois-ci, « il n’y aura pas d’autre fois ».