Glyphosate : je t’aime... moi non plus !
Soit :
le glyphosate est inoffensif... et il faut l’autoriser sans réserves...
Soit :
c’est un poison... et il faut l’interdire immédiatement et définitivement...
Les discussions sur 7 ans, 5 ans ou 3 ans de délais ne sont pas de mise, n’est ce pas monsieur Hulot ! Il ne faut pas se mettre en vacances de l’écologie. Des études sérieuses démontrent que c’est un cancérogène « certain » pour les animaux et« probable » pour l’homme.
Vidéo ahurissante
Mais l’homme n’est-il pas aussi un animal ?
Combien de médicaments, de vaccins et même de produits cosmétiques ont été déclarés inoffensifs à la suite d’expérimentations sur les animaux, (qui n’avaient rien demandé). Alors voilà l’argument suprême : « mais par quoi va-t-on le remplacer ? » Mais il fallait y penser avant, les gros malins, au lieu de croire les mensonges de Monsanto !
La première étude falsifiée date de 1978.
Il est aujourd’hui prouvé par des courriers internes, que Monsanto connaissait depuis longtemps la dangerosité du produit. A la suite du scandale de l’agent orange au Vietnam, qui fait encore des victimes après plus de quarante ans, cette entreprise aurait du disparaître de la surface de la terre. Mais il est plus facile de s’attaquer aux chômeurs « récidivistes » (merci monsieur Macron !), qu’à ces boites pourries qui bénéficient d’une totale impunité... voir chez nous Lafarge, financeur du terrorisme, que monsieur macron doit considérer comme « premier de cordée ». Petite remarque en passant : le premier de cordée, c’est bien celui qui fait dégringoler les cailloux sur ceux qui sont dessous ? Alors est ce que la totalité des Français de 0 à 115 ans qui ont tous du glyphosate dans le corps en quantités variables, vont se décider à porter plainte contre les empoisonneurs ?
Plus de soixante millions de plaignants, ça aurait de la gueule !