suite : Rouen, la préfecture et son radar à féministes - Lors de la perturbation du discours de Darmanin le 28 juillet dernier, la préfecture avait prétendu que « les personnes interpellées étaient « connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra-gauche », et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes. » Quelques femmes, interpellées ou refoulées ce jour-là, nous ont fait parvenir ce texte qui vaut comme droit de réponse. et aussi : https://www.lemediatv.fr/emissions/2020/les-ecologistes-en-rebellion-contre-la-repression-Q5sJ9WucS06qYAEtT3KlwA
⚫BESANÇON : (...)