Ajoutons la responsabilité de la gauche et des « antifas » qui abandonnent une définition matérialiste du fascisme en le réduisant, comme la doxa bourgeoise, à l’autoritarisme + le racisme (exit l’aspect de masse du mouvement fasciste, exit son essence conspirationniste, exit l’opposition entre capital productif et parasitage financier...). On le constate lorsque la gauche et plus particulièrement l’extrême-gauche considère que l’état est en voie de fascisation sous le seul prétexte qu’il recourt à la répression ou adopte des politiques discriminatoires. Grâce à cette confusion des (...)