J’ajoute ce commentaire qui poursuit utilement ma réflexion (je l’avais posté sous cet article)
<< Merci pour ces remarques intéressantes (sur le fait que une forte répartition des richesses freinerait fort les investissement privés foireux). Mais une « très bonne » répartition des richesses (apte à freiner fortement les investissements privés) ne sera pas « accordée » comme ça, mais seulement si la crise est grave et qu’il y a des révoltes/grèves importantes. En fait, Etats et entreprises se contentent de lâcher le minimum pour calmer les foules, donc les fortunes ne sont pas (...)