Deux publications sur des aspects du techno-fascisme moderne, où la haute technologie (déjà entâchée intrinsèquement car faisant partie des techniques « non-démocratiques ») apporte sa puissance, ses capacités de fichage, ses IA et logiciels aux pires saletés, y compris au génocide israélo-américain mené à Gaza.
Les hautes technologies, et encore plus les IA, n’ont déjà rien de neutre de base, ce n’est pas juste un problème de qui/comment/pour-quoi elles servent, et dans ce modèle de (...)