Le roi Macron et ses dignitaires sont traqués partout. Manifs, casserolades et engeulades les attendent partout où ils essaient de dérouler leur com pourrie.
Ces actions réjouissantes ne suffiront bien sûr pas pour destituer la tyrannie, rendre possible la démocratie directe et commencer à se séparer du capitalisme, mais ça maintient la pression, et si d’autres types d’actions s’ajoutent..., le roi pourrait bien chuter lourdement au sol.
Préparons activement le 1er mai et la suite : création de comité de luttes et d’assemblées populaires autonomes partout, stratégies et tactiques pour aller le plus loin possible au delà de l’annulation de la réforme retraites et de la destitution du macronisme.
Et n’oublions pas les nombreux petits tyranneaux locaux, plus accessibles et plus destituables que les oligarques élyséens, car la démocratie ça commence localement, dans les communes et intercommunes.
Intervilles Drôme :
CASSEROLADE RECONDUCTIBLE
21 avril. Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, et Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, se sont rendu sur le site d’Orano Tricastin pour la relance du nucléaire. Ils ont été reçu en fanfare
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=606928381472125&external_log_id=f39025a7-8c93-49e0-9966-958b51d88a4a&q=tricastin%20lescure%2021%20avril%202023
Macron hué, ses ministres chassés : oui, on peut espérer la victoire
Macron hué, ses ministres chassés : oui, on peut espérer la victoire
Lundi soir, Macron annonçait vouloir s’en prendre aux allocataires du RSA et aux réfugiés, nous croyant suffisamment cons pour adhérer à sa pathétique tentative de diversion. Il s’est donné 100 jours pour redresser la situation, une référence au retour de Napoléon en 1815. C’est un choix cohérent : il s’agit d’un dictateur comme lui et, à l’issue de cette durée, il s’est trouvé détrôné. Peut-on encore espérer pour Macron le même destin ?
(...)
D’une façon générale, le mouvement social semble être passé de la guerre des tranchées des grandes journées de manifestation à la guérilla d’une multiplicité d’actions directes : en dehors des journées de mobilisation officielles, des petits groupes déterminés bloquent les gares, empêchent les livraisons de Leclerc, envahissent les hypermarchés comme le 19 avril à la Défense
(...)
Désormais, tout le monde sait qu’il n’y a rien à attendre de Macron, l’un des plus grands menteurs que le pays ait connu. Plus personne ne le respecte. Plus personne ne peut voir sa tronche, qui déclenche un rejet viscéral de la part de très nombreuses personnes. Plus il parle, plus on le déteste. Et il n’a plus aucune idée nouvelle. Entre son interview TV désastreuse de la mi-mars, qui avait intensifié la mobilisation contre la réforme des retraites, et son allocution de lundi, rien de nouveau. La guerre aux pauvres et aux étrangers est toujours annoncée. La seule perspective offerte est une « nouvelle loi travail », sachant que la précédente a constitué un immense recul de nos droits sociaux. Face à notre colère il nous dit « je vais vous faire pire ».
Notre constitution pourrissante n’avait pas prévu un cas comme celui-ci. D’ordinaire, dans le train-train désespérant de notre vie politique, les présidents disposent d’une première année paisible, durant laquelle leur popularité reste correcte, « légitimité démocratique » oblige. Mais c’est terminé : il lui reste 4 ans à tenir et le despote est détesté comme jamais. Il n’a qu’une seule ressource en sa faveur, perpétuellement agitée par les grands médias et par nombre de militants, y compris à gauche : Marine Le Pen. « Imaginez si elle passe », osent nombre de commentateurs alors que les arrestations arbitraires se multiplient, que la police mutile voire tue, que les réfugiés sont parqués dans des centres de rétention. Ah oui merci, on imagine aisément, puisque ce qu’on l’on nous avait prédit en 2017 en cas de victoire de Le Pen se déroule sous Macron. Alors quoi, « ça pourrait être pire » ? Mais oui, tout pourrait toujours être pire. Sauf que des choses ignobles se passent en ce moment, alors pourquoi attendre le pire pour agir ?
(...)
A Frustration, nous sommes davantage envahi par la joie de la guérilla qui s’annonce que paralysé par la peur du pire. Car l’histoire nous apprend que le fascisme a toujours été rendu possible par l’action délibérée des classes dominantes pour juguler les envies de révoltes populaires. Car nous voyons que tout de suite et maintenant, on a plus à craindre du déjà-là fasciste de Macron que nous observons en ce moment que du péril fasciste de Le Pen que l’on nous invite à anticiper. Il faut continuer à faire feu de tout bois et rejoindre cette guérilla qui se dessine : perturbation des hypermarchés, blocage des réseaux de transport, empêchement des évènements sportifs, concours régionaux de bordélisation de déplacements ministériels… Libérons-nous donc de la peur du pire et n’ayons pas peur d’espérer le mieux : l’extension du chaos émancipateur et la chute du despote.
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
🍳POUR LE DÉPLACEMENT DE MACRON, LA PRÉFECTURE INTERDIT LES CASSEROLES
Toujours plus loin en absurdistan autoritaire. Après trois mois de silence et de violences d’Etat, un 49-3, et deux discours odieux, les communicants de l’Elysée organisent des déplacements de Macron en France, pour montrer que le président rencontre le bas peuple. Manque de bol, le réel est là, partout, pour rappeler à quel point tout le monde déteste Macron et son clan.
Exemple ce jeudi. Macron se déplace à Ganges, village de moins de 4000 habitants dans l’Hérault, pour aller visiter un collège. Il a besoin de 600 gendarmes et policiers ! Plus que de collégiens dans l’établissement !
Cela n’a même pas empêché les habitants de forcer des barrages, les gendarmes ont dû tirer des grenades lacrymogènes. Dans le village, les rues sont couvertes de tags et de banderoles contre Macron. Encore plus drôle, l’aéroport de Montpellier, où devait atterrir Macron, a été privé d’électricité par des agents EDF en lutte.
Macron ne veut pas entendre de casseroles quand il se déplace. La préfecture de l’Hérault a donc pris un arrêté d’une stupidité dont seuls les hauts fonctionnaires français ont le secret. Le document interdit dans tout le village « tout objet pouvant servir de projectile en particulier les bouteilles en verre ». Jusqu’ici, c’est classique. Mais l’arrêté interdit aussi « l’usage de dispositifs sonores portatifs ». C’est à dire … des casseroles !
En effet, des journalistes ont filmé les gendarmes fouiller des habitants à la recherche de casseroles, et leur confisquer. Quand un manifestant s’est plaint que c’était « illégal », le gendarme a brandi le fameux arrêté ! Et le plus fou, c’est que le préfet justifie ces interdictions par la « menace terroriste ». Zéro limite.
Macron est finito. Il faut partir maintenant.
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
Chaque sortie de Macron est désormais un calvaire et une humiliation publique qui provoque des rires dans tout le pays.
Le déplacement dans le village de Ganges ce jeudi est un échec monumental pour le président et une démonstration de force et d’astuce pour le mouvement social.
En plus des mobilisations bruyantes partout où passe Macron, la CGT a revendiqué deux coupures de courant :
La première à l’aéroport de Montpellier, Macron est donc arrivé dans un hall d’aéroport privé d’électricité.
La seconde dans le collège Louise Michel, bouclé par 600 policiers.
Macron devait intervenir dans une salle à l’intérieur du collège : une mise en scène préparée avec quelques profs et élèves triés sur le volet dans un CDI. Avec la coupure de courant, toutes les salles sont dans la pénombre. Il a donc fallu sortir quelques chaises de classe en urgence dans la cours pour produire le show médiatique. Ministres et figurants sont blêmes, et le visage renfermé.
Macron ne tiendra certainement pas 4 ans ainsi. Même dans des villages reculés, il est pourchassé. Ses venues dans les grandes villes risquent de provoquer des émeutes généralisées. Il craquera bien avant nous.
(posts de Contre Attaque)
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
Infos utiles
- Petites précisions sur les « dégradations de mobilier urbain » - Pour répondre aux conneries qu’on entend souvent dans les manifs : « c’est nous qu’allons payer pour ça ! » ; « c’est nul de s’en prendre au mobilier urbain, c’est pas un symbole capitaliste » etc.
Alors déjà non, « on » ne paie pas plus pour ça que pour n’importe quelle dégradation.
La ville de Paris, et la majorité des villes en France, ne s’endettent pas suite aux dégradations de mobilier urbain. Les entreprises de pub s’occupent seules de l’entretien des éléments de mobilier urbain dans leur intégralité, et la Ville n’a rien à reverser. Ces concessions se basent sur l’exploitation de la publicité affichée sur ce mobilier, c’est comme ça que les entreprises qui les gèrent se payent.
Le mobilier urbain c’est pas un symbole capitaliste ? Eh ben si, et c’est d’ailleurs un des plus invasifs dans nos quartiers, et on va tenter de l’expliquer rapidement.
(...) - Soulèvement : pdf du livre & une brochure - Voici un pdf du livre Soulèvement, sorti à l’automne 2020. Ce livre dresse un premier bilan de la vague de soulèvement en cours depuis 2018
- Retour sur la marche des mutilé.e.s pour l’exemple qui s’est déroulé ce 9 avril 2023 à Toulouse. - Ce dimanche 09/04/2023 s’est tenu à Toulouse une marche des mutilé.e.s pour l’exemple. Loin des propos qui s’y sont effectivement tenus en début de rassemblement ; la marche avait pour thématique l’enfer de la procédure judiciaire que certain.es du collectif ont entrepris. Mais lors des prises de parole, l’angle judiciaire de la manif s’est transformé en festival de la dissociation politique entre les bons et les mauvais.e.s manifestant.e.s
« Voter, c’est abdiquer. Nommer un maître pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et de vous y plier. »
(E.Reclus)
Procès de quatre salariés de RTE en février, traités comme des terroristes dans le cadre d’actions syndicales traditionnelles
Les grévistes de RTE arrêtés par la DGSI condamnés à des amendes : l’Etat s’acharne et fait appel
Après le procès des quatre salariés de RTE en février, traités comme des terroristes dans le cadre d’actions syndicales traditionnelles, le juge a condamné les grévistes à des amendes contre les réquisitions de la procureure. Le parquet vient de faire appel.
(...)
Après une enquête totalement à charge de l’antiterrorisme, les quatre salariés sont licenciés de RTE et arrêtés par la DGSI à leur domicile avant d’être mis en garde à vue plus de 70h dans les locaux antiterroristes de Levallois.
(...)
« Quand il ne se passe pas grand-chose, on a l’impression de vivre une relative liberté, mais dans les moments de lutte, on voit qu’il ne reste plus que les corps répressifs : la police, la justice, l’armée, c’est ça finalement l’essentiel de l’Etat, conclut Francis Casanova. Cela participe à une prise de conscience des travailleurs sur les illusions parlementaires et le caractère démocratique de notre société, qui est une dictature du Capital. Quand on utilise des services antiterroristes pour réprimer des grévistes qui font des actions symboliques, on est dans un Etat policier ».
(...)
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
NANTES MET LE SNU EN PLS
Franche rigolade ce mercredi à Nantes. Un « village » du Service National Universel débarquait dans le centre-ville, avec drapeaux tricolores, stands de recrutement et camion floqué avec les sigles du SNU pour promouvoir le projet militariste du gouvernement.
Le SNU, ce sont plusieurs milliards d’euros pris sur le budget de l’éducation et transférés à l’armée pour imposer des « stages » aux lycéens mineurs, destinés à embrigader de force la jeunesse, forcée de chanter la Marseillaise devant le drapeau, à se tenir en rangs et à prêter allégeance aux valeurs frelatées de la République française qui se mue en régime autoritaire. À terme, Macron veut rendre ce SNU obligatoire pour toutes et tous les lycéens.
La représentante de ce projet formidable n’est autre que la porte-parole du gouvernement, Sarah El Haïry, également députée de Loire-Atlantique. Elle devait faire le déplacement dans le village. Mais rien ne s’est déroulé comme prévu.
Dès 10h, 200 personnes encerclaient le village qui se retrouvait nassé derrière des barrières et entouré de policiers avec des boucliers, des lances grenades et des LBD. Une foule goguenarde chantait l’Internationale ou des slogans antimilitaristes face aux organisateurs dépités. Flop total pour le « village SNU ». Pas une seule personne n’a franchi les barrières. À part les opposant-es, qui ont arraché un morceau de l’enceinte de protection, provoquant l’intervention des forces de l’ordre.
« On n’est pas dans de bonnes conditions, ça insécurise les visiteurs. Les personnes n’osent pas rentrer et ont peur de sortir », ont pleurniché les organisateurs dans la presse. Parmi eux, de jeunes hommes bien peignés, en tenues du SNU, et même un garçon très fâché avec une broderie de l’armée française sur son costume. Les enfants de policiers et de militaires qui composent le gros des « volontaires du SNU » ont clairement passé une mauvaise journée. Le village devait se tenir jusqu’à 16h. À midi, les prestataires commençaient déjà à ranger les barnums, avant de se replier sous escorte policière. Les organisateurs traumatisés ont confié : « Nantes c’est la seule étape où il y a un blocage ».
Évidemment, Sarah El Haïry n’a pas pris le risque de venir. Et le « livre d’or » qui trônait au centre de la place est resté immaculé, entouré de policiers armés. Véhicules, barnums, prestataires, vigiles et forces de l’ordre… Combien a coûté ce spectacle pathétique ? Combien de milliers d’euros pour une heure de flop ?
Le « village SNU » fait une tournée dans toute la France. Il n’est pas impossible de le faire annuler, comme à Nantes. À vous de jouer !
LE RACISME CONTRE LA LUTTE SOCIALE
Le 8 avril, le Journal du Dimanche interrogeait des membres du gouvernement. Un conseiller ministériel lançait : « Il y a trop de tétanie dans notre réaction. Il faut mettre des choses dans l’atmosphère, comme l’immigration ou autre. Sinon, on ne va jamais réussir à écraser les retraites. »
Mettre l’immigration dans l’atmosphère pour écraser les retraites. Écraser la demande d’une juste répartition des richesse par un climat raciste. Voilà les stratégies dégueulasses d’un gouvernement d’extrême droite.
Depuis, Macron a annoncé le démarrage de « 100 jours d’unité » lors d’un discours lundi soir. Il a notamment promis : « Nous renforcerons le contrôle de l’immigration illégale ».
Selon Le Monde, Macron a demandé à ses ministres de programmer ces deux textes à l’agenda parlementaire avant l’été : « si les textes travail et immigration ne passent pas en première lecture avant l’été, ils ne passeront jamais. » Toujours selon Le Monde, il a déclaré « Il faut être dur avec ceux qui veulent nous crever la paillasse. Faire payer l’hypocrisie et les jeux de dupes. »
Ces deux derniers jours, plusieurs ministres ont attaqué les immigrés. Bruno Le Maire, à propos des personnes d’origine maghrébines qui dépenseraient des « aides sociales » à l’étranger. Darmanin, qui a amalgamé « l’immigration » et la « fraude », tout en déclarant « ce que veulent les français, c’est plus d’autorité ». Comme si les millions de personnes qui manifestent depuis 3 mois réclamaient « plus d’autorité » et non le partage des richesses. Enfin, Olivier Veran souhaite carrément une « convention citoyenne » sur « la lutte contre l’immigration », « un beau thème sur lequel on peut mobiliser ».
Comme dans les années 1930, le capitalisme en crise choisit la carte du racisme. Voilà l’apaisement par les macronistes : l’unité nationale raciste, en agitant les fantasmes contre l’immigration. On connaît la prochaine cible : les pauvres, les minorités, les oppositions.
Ces crapules sont d’extrême droite. Ils en ont les mots, les pratiques le cynisme et la violence. Leur tentative de détourner la colère sociale contre les immigrés ne marchera pas. Faisons bloc.
🎥 : Caisses de grève, vidéo : https://fb.watch/k00EiuRxnl/
(posts de Contre Attaque)
Ces vomissures racistes sont à mettre en parallèle avec ceci :
« Les interdictions des conférences d’Amnesty International sur Israël s’apparentent à des atteintes répétées à la liberté d’expression » - Le président d’Amnesty International France, Jean-Claude Samouiller, regrette, dans une tribune au « Monde », le manque de soutien du ministère de l’intérieur alors que l’ONG est confrontée à un déchaînement de haine et de menaces parce qu’elle a qualifié d’« apartheid » le système de répression de l’Etat israélien à l’égard des Palestiniens.
(...)
A noter dans ce dossier que le ministre français de l’intérieur, Gérald Darmanin, avait lui-même pris la parole alors, pour affirmer que si cela n’avait pas été le cas, il aurait lui-même fait interdire la table ronde par la préfecture. Sous quel motif ? Nul ne le sait.
Plus récemment, encore, c’est à Nancy, le 15 mars, que le préfet de Meurthe-et-Moselle a interdit une conférence devant également accueillir Salah Hamouri pour « risques de troubles à l’ordre public ».
(...) Nous demandons aux responsables de salles dans lesquelles ces rencontres doivent se dérouler de ne pas céder à ces pressions partisanes, et au ministre de l’intérieur de bien veiller à ce que le droit fondamental à la liberté d’expression soit pleinement respecté. Ce n’est pas aux organisateurs de ces rencontres qu’il faut s’attaquer, mais à leurs contempteurs. (...)
Etrangement, les déplacements du tyran Macron ne sont pas annulés pour "risque de troubles à l’ordre public"...
🌙LES NUITS ZBEUL 🍾
Si le ciel ne nous tombe pas sur la tête
Si la lune a comme un air de fête
Alors nous aurons peut-être le temps. 100 jours, 100 nuits.
VIDEO : https://fb.watch/k2pSZTBiQj/
BREVES
La tyran en chef a donné aux autres pantins du régime macronistes la consigne de faire de la com pourrie en se mettant à « portée d’engeulade » de la populace factieuse, mais ses lâches ont tendance à vite se défiler :
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
19 AVRIL. MACRON HUÉ ET INSULTÉ A SELESTAT EN ALSACE CERTAINEMENT COMME NE L’A JAMAIS ETE UN PRESIDENT EN FRANCE
https://www.facebook.com/100076095889547/videos/207774638641046
LE MINISTRE CHRISTOPHE BECHU POURSUIVI JUSQUE DANS LES BOIS PAR UN CONCERT DE CASSEROLES
Ça s’est passé le 19 avril dans la Sarthe
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=272816945101862&external_log_id=74f9a23e-9699-40b5-81a3-23287bcd95d5&q=B%C3%A9chu%20suivi%20dans%20les%20bois%20casseroles
19 AVRIL. LE MINISTRE DE L’ECOLOGIE CHRISTOPHE BECHU ACCUEILLI AU MANS PAR DES HUEES ET UN CONCERT DE CASSEROLES https://www.facebook.com/fabrice.floc
LA MINISTRE ANNULE SA VISITE PAR PEUR DES MANIFESTANTS
19 avril. 👉La Ministre de l’Enseignement Supérieur Sylvie Retailleau a annulé son déplacement à l’université Paris Saclay où un comité d’accueil l’attendait. La CGT Energie a coupé l’électricité du bâtiment qui devait être inauguré.
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=539919468298081&external_log_id=e0a97d68-5e21-4168-9a47-f783751d67d7&q=barrage%20filtrant%2019%20avril%202023
Haranguer vigoureusement des guignols de la bande à macron, c’est bien, mais de nouis laissons pas trop embarquer dans cette diversion, et n’oublions pas de bloquer des secteurs clefs de l’Economie...
L’électricité a été coupé par la CGT à #Muttersholtz dans l’usine que visitait Emmanuel Macron #Macron20h #100jours #manif19avril #ReformeDesRetraites
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
Plusieurs centaines de personnes "se sont rassemblées mardi soir à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où le président Emmanuel Macron devait assister à un concert à la maison d’éducation de la Légion d’honneur. Le rassemblement s’est déroulé sur une place de la mairie, bondée, à proximité de la basilique de Saint-Denis.
Dans une ambiance festive et au son de nombreux orchestres improvisés, les manifestants ont scandé : « Macron démission ! » ou encore : « Macron nous fait la guerre, sa police aussi, mais nous aussi on reste déter ! ». A quelques mètres de la manifestation, la rue qui mène au lieu du concert a été bouclée. Les manifestants ont été tenus à bonne distance par des barrières et un important dispositif policier."
📷 Saint-Denis, 18 avril 2023. Julien de Rosa / AFP
PARIS EN FEU, LA RÉFORME AU MILIEU !
vidéo : https://fb.watch/j-DvuyBOPv/
ON LÂCHE RIEN !!
Action de la CGT ce mercredi matin contre la Réforme des retraites : de nombreux manifestants ont envahi le supermarché Auchan du centre commercial des La Défense.
🚨Apaisement : jour 3🚨
« On en veut pas de ta retraite trou du cul »
A Sélestat le comité d’accueil a fait basculer la visite de Macron à l’humiliation.
https://fb.watch/j--ZwfjbLH/
L’ALLOCUTION DE MACRON A COUTÉ CHER A EDF
SI MACRON, LES CONCERTS DE CASSEROLE ONT FAIT AVANCER LA FRANCE
Les résultats de la coupure de compteur hier soir ont été une baisse semble-t-il de 1,9 giga watt. Selon des spécialistes, il aurait fallu 3 giga watt ... pour avoir 1 incidence technique européenne.
Il semble que 1/2 heure de coupure ne suffisait pas, 1 h de coupure serait peut-être plus efficace !
Quoiqu’il en soit...1,9 giga watt à 21c le kw...ça fait 399 mille euros de non consommé aux détriments de EDF et des actionnaires des sociétés de l’énergie.
Bref, l’allocution de macron à été « rentabilisée » par les boycotteurs. Les concerts de casserole ont fait faire des économies à la France, ils l’ont fait avancer pour répondre à Macron qui a déclaré que ce ne sont pas les casseroles qui feront avancer la France
19 AVRIL. LES EBOUEURS DU HAVRE ONT REPRIS LA GREVE
Ils avaient fait un mois de grève mais le 31 mars, les CRS ont brisé leur piquet de grève. Le 17 avril, les éboueurs ont repris la grève, cette fois sans bloquer mais en essayant de convaincre le maximum de se mettre en grève
Apaisement jour 4 :
Blocage de lycée, de gare, de dépôt de bus, de dépôt routiers.
Il est 9h00.
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
NANTES : LA PRISE DU CHÂTEAU DES DUCS !
Belle soirée de lutte et de fête hier, mercredi 19 avril à Nantes. Plusieurs actions se sont synchronisées, quelques heures après la victoire contre le SNU.
Au miroir d’eau, musique et ambiance festive à 18h30, avec des manifestant-es portant des masques de carnaval. Sur les remparts du château, une banderole, gigantesque, apparaît, puis deux, puis trois, puis c’est toute la longueur du château qui est couverte ! Et le drapeau de la ville de Nantes est remplacé par celui de la CGT.
Sur la plus grande tour, une banderole proclame « les libéraux au cachot, le peuple au château ». Elle mesure toute la hauteur de l’édifice. Elle sera bientôt rejointe par la bannière de la CGT énergie. Le long de la muraille, les grandes dates des révolutions en France, avec le hasthag #BeMoreFrench. Il manque encore 2023... Et de l’autre côté, une banderole des archéologues en lutte. Le château de la Duchesse Anne a fière allure !
Au même moment, quelques centaines de personnes se retrouvent Place Royale pour soutenir les Soulèvements de la Terre. Il n’y a pas eu de dissolution, redoutée ce jour, mais une série de témoignages et des panneaux tenus collectivement, en attendant les prochains rendez-vous des luttes écologistes annoncés au micro.
Tout le monde se retrouve au miroir d’eau, où les banderoles tiennent toujours. Musique, danse, feux d’artifice... Et pour couronner la soirée, un immense 49-3 est brûlé dans la bonne humeur.
Macron a réveillé un mouvement populaire massif, déterminé et joyeux, malgré la férocité de la répression. On va gagner. Président, prends ton temps, on s’amuse énormément.
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DE LA ZONE DE L’AIGUILLE A FIGEAC
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DU ROND-POINT DU JURANCON A PAU
20 AVRIL JOUR D’APAISEMENT N°4. GREVE DES CHEMINOTS A TRAPPES ET BLOCAGE DU DEPÔT DE BUS
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4
GARE DE FOIX (09) TOTALEMENT BLOQUEE
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DU DEPÔT DE BUS DE RENNES
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
Des manifestants envahissent le siège d’#Euronext (principale place boursière de la zone euro) à La Défense contre la #réformedesretraites
Images Remy Buisine : https://fb.watch/k0SzqTkEjV/
2 JOURS APRES SON DISCOURS SUR SA VOLONTE D’APAISEMENT, MACRON FAISAIT EVACUER PAR LA FORCE LES ETUDIANTS EN GREVE DE LA FACULTE D’AIX EN PROVENCE
Les étudiants en grève d’Aix en Provence occupaient la faculté de Lettres depuis le 11 avril. Le 18 avril, deux jours après le discours d’apaisement de Macron, les CRS rentraient dans l’université et évacuaient les étudiants par la force.
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE EN COURS DE LA GARE DE MONTAUBAN
L’Elysée annonce qu’Emmanuel Macron renonce à un bain de foule à Ganges suite à la séquence catastrophique de hier à Selestat.
(le tyran veut se faire engueuler, mais pas trop quand même...)
20 AVRIL. COLERE CHEMINOTE : AUCUN TRAIN DEPUIS HIER SOIR EN GARE DE LYON
https://www.facebook.com/watch?ref=search&v=921143985790484&external_log_id=87d68b94-d520-4523-9d7a-4ee271002f17&q=gr%C3%A8ve%20cheminots%2020%20avril%202023
20 avril. Jour d’apaisement N°4. Blocage du plus gros dépôt de bus des Yvelines
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DE L’AEROPORT DU BOURGET
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DE LA ZONE INDUSTRIELLE A USSAC
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4 : BLOCAGE DE LA GARE DE LORIENT
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4. BLOCAGE DE LA GARE LILLE-FLANDRES
Macron explosion ;-)
A Bordeaux, les dockers ont fait exploser symboliquement une poupée à l’effigie d’Emmanuel Macron.
https://fb.watch/k10NyqfZ1U/
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4
Lecornu ministre de la Défense accueilli par une casserolade pour son passage à Bourogne (90)
20 AVRIL. LA DIRECTION DE LA SNCF BIEN DECOREE A LYON
Un rassemblement de cheminots à Lyon, a été organisé à la mi-journée, à l’appel de l’intersyndicale, au pied de la tour Incity, qui abrite la direction régionale SNCF voyageurs TER et TGV.
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4
BELLE MANIFESTATION A PARIS AVEC BEAUCOUP DE SOUFFLE ET EN DIRECTION DU MEDEF
« RIEN NE POURRA NOUS ARRÊTER ! »
https://www.facebook.com/watch/live/?ref=search&v=571641798400841
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4
Véran a été accueilli à la foire de Brignoles avec pas mal de bruit. Ils ne peuvent plus se déplacer nulle part sans l’accueil que mérite leur indignité
https://www.facebook.com/watch?ref=search&v=604186211638528&external_log_id=5507f360-b883-4b37-b857-8a7b62851f65&q=acceuil%20bruit%20v%C3%A9ran
20 AVRIL. APRES LES CHEMINOTS, LA JEUNESSE MANIFESTE EN NOMBRE DANS LES RUES DE LYON
Pour la retraite, le climat, contre les violences policières, l’autoritarisme du pouvoir...
https://www.facebook.com/paysrevolte2/videos/754133373054001
20 AVRIL. MANIFESTATION SAUVAGE A NANTES
https://www.facebook.com/santiago.amigo.14/videos/1271684853723257
20 AVRIL. JOUR D’APAISEMENT N°4
MANIFESTATION SPONTANEE A BORDEAUX CONTRE LA REFORME DES RETRAITES
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=163661023303322&external_log_id=89027368-e755-417d-8224-c3851fa95bad&q=manifestation%20nantes%2020%20avril%202023
MACRON A PEUR DE TOUT, Y COMPRIS DES AFFICHES
Devant l’Elysée, un camion de la CGT arrive avec une affiche sur ses flancs, « Notre retraite on n’y touche pas ». Ca suffit en démocrature macronienne pour être immédiatement arrêté par les forces de l’ordre.
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=888762142224386&external_log_id=20265f53-da7b-435c-ab41-2cb326319c2e&q=Cami%C3%A7on%20notre%20retraite%20on%20n%27y%20touche%20pas%20elys%C3%A9e
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
- Les ministres fuient ou se terrent derrière des rangées de flics
UNE MINISTRE MACRONISTE BOUTÉE HORS DE LOIRE-ATLANTIQUE
Interville du Zbeul : encore une victoire locale
La ministre Macroniste venait en Loire-Atlantique ce vendredi matin. Une visite qui s’annonçait tranquille, sur la côte, pour parler de vacances. C’est un échec intégral pour la ministre :
1- Première étape à La Baule. Des dizaines de personnes l’attendent à 8h30 avec des casseroles devant le camping du Bois d’amour qu’elle doit visiter. Malgré les CRS, face au concert de casseroles qui l’attend, elle annule au dernier moment sa venue. C’est tout simplement du jamais vu. La Baule, c’est la ville la moins risquée de France ! Une station balnéaire bourgeoise, avec des villas de grands patrons et de politiciens, une commune qui vote à 80% à droite et à l’extrême droite. Même là, les macronistes sont en panique.
2- Olivia Grégoire file en vitesse à Guérande, autre ville de droite, pour visiter un camping. Ouest-France dit qu’elle « a fait la visite fissa pour ne pas entendre la batterie de cuisine ». En effet, la casserolade la poursuivait, elle a fui avant qu’elle n’arrive... Sur la vidéo diffusée par son service com’, elle s’empresse de bafouiller des éléments de langage avec un regard inquiet sur les côtés.
3- Troisième étape : Olivia Grégoire devait aller visiter « Terre de Sel », une coopérative qui préserve les marais salants de Guérande et fait découvrir les lieux aux visiteurs. La structure aurait tout simplement refusé de recevoir la ministre ! En tout cas, sa venue est annulée.
Fin de partie pour Olivia Grégoire. Retour à Paris. Au suivant !
Ajout : finalement la ministre aurait pu se rendre en catimini au camping de La Baule, une fois les casseroles parties. Obligée de se cacher dans le fief de la bourgeoisie locale : la macronie est dos au mur !
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
🏰 VILLERS-COTTERÊTS : GUERRE AU PALAIS
« Retire ta réforme de merde ou on rase ton château », « Dernière sommation », « Aucun château n’est imprenable »...
Les messages sont aussi massifs que menaçants, tout au long de la palissade entourant le château de Villers-Cotterêts, sur plusieurs dizaines de mètres en gros caractères.
Ce château a été construit sous François 1er, dans l’Aisne, dans la commune de Villers-Cotterêts au nord de l’Île de France. C’est dans ce château qu’a été signée la célèbre ordonnance de Villers-Cotterêt, plus ancienne loi encore en vigueur en France, qui instaure le français comme langue administrative du pays. Laissé à l’abandon ces dernières années, le château a été choisi par Macron pour en faire une « Cité de la langue française ».
C’est donc logiquement que le palais a été pris pour cible dans la nuit du 15 au 16 avril. Certains tags sont aussi adressés au maire de la commune, Franck Briffaud, élu du Rassemblement National : « Le maire est un facho ».
Un ouvrier envoyé recouvrir les tags de peinture blanche explique à France 3 : « C’est dommage d’effacer ce qu’on pense. Ça nous donne du boulot, mais c’est la pensée de beaucoup de gens écrite en gros. On va y aller doucement pour que le peuple puisse encore voir un peu ce qu’il y écrit sur les palissades ».
Les actions de résistance ne se comptent plus dans toute la France, des grandes villes aux plus petites communes ! Après des mois de grèves massives et cadrées sans effet, un mois de révolte de rue suite au 49-3, le mouvement semble entrer dans une nouvelle phase. Celle de la guérilla sociale : la multiplication des actions spontanées, le harcèlement des élus macronistes partout où ils vont, les blocages, les casserolades...
Ces tags de Villers-Cotterêts visent juste. Macron n’a pas eu peur des grandes manifestations bien organisées, mais ses amis les riches, patrons, châtelains et politiciens, auront toujours peur que la plèbe vienne les chercher chez eux…
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
- Retour de casseroles en pleine poire
NANTES, 20 AVRIL : LES CASSEROLES RÉSONNENT DANS TOUT LE CENTRE VILLE
Jeudi 20 mars, journée de mobilisation nationale de l’intersyndicale, mais pas d’appel local à manifester. Tant pis, une mobilisation spontanée s’improvise le matin même sur les réseaux sociaux.
Macron n’aime pas les casseroles ? Alors faisons-les résonner au cœur de la ville, le long des terrasses très fréquentées avec le retour des beaux jours. Ces derniers temps, il n’y a plus une journée à Nantes sans une manifestation, une action ou un blocage, et ça continue.
Le pari était osé étant donné la répression systématique qui règne à Nantes. Finalement, autour de 20h, plusieurs centaines de personnes sont parties dans un vacarme assourdissant et joyeux de la Place du Bouffay. À l’avant, une équipe de la « BRAV Punk » : un BMX, deux passager-es avec des casques dorés et une sono qui crache du Daft Punk. Mais aussi un tambour qui frappe au rythme de « tout le monde déteste la police » et beaucoup de casseroles.
Cette fois-ci, le préfet n’a pas eu le temps de déployer ses centaines de CRS habituels, et la manifestation va où elle veut ! La police commence-t-elle enfin à fatiguer ? Quoiqu’il en soit, le cortège passe dans les ruelles pleines de monde, les places du centre-ville, les artères des boutiques de luxe. Autant d’endroits où aucune manif ne peut passer depuis des années.
Le cortège donne de la voix, souvent applaudi et même rejoint par les personnes en terrasse. Le slogan « Macron explosion » crié à pleins poumons est un franc succès dans les rues. Quelques feux et graffitis sont semés en chemin… Avant un retour à Bouffay.
Sans flics, tout se passe à merveille. Ce sont bien les autorités qui définissent toujours le niveau de tensions. Déployons-nous quand ils ne nous attendent pas.
Cette manifestation spontanée a donné de la joie et de la force aux personnes présentes. Une marche dynamique à 600 offre parfois plus d’opportunités d’agir qu’un cortège de milliers de personnes totalement cadenassé. À nous d’occuper le terrain partout, de multiplier les actions, les blocages et les manifestations, petites ou grandes. Cela permet d’augmenter le nombre de brèches et de possibles !
(posts de Contre Attaque)
- Révolte déclenchée par la réforme retraites : guérilla sociale et casserolades partout
« ON EST LA, ON EST LA, MÊME SI VOUS NE LE VOULEZ PAS... »
21 avril. Comité d’accueil à Lons-Le-Saunier (39) de Isabelle Lonvis-Rome, la ministre à l’égalité Hommes-Femmes
https://www.facebook.com/veroniquejournot/videos/748357523601881
CASSEROLADE RECONDUCTIBLE
21 avril. Pour contourner les CRS, les manifestants sont passés par les champs pour aller accueillir les ministres Bruno LeMaire et Christophe Béchu dans une usine à Nesle dans la Somme
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=1621492121611782&external_log_id=ccfbcc84-4a41-4182-8489-bdc72cd9aeef&q=manifestation%2021%20avril%202023
LES CASSEROLADES, C’EST LA SANTÉ
21 avril. Comité d’accueil du ministre de la santé F. Braun à Montreuil au bruit des casseroles
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=1001302330856523&external_log_id=d0249583-bbb8-4cf5-9cc8-74175f47a7ab&q=montreuil%20comit%C3%A9%20accueil%20braun
Journée d’apaisement 5 en direct
⭕La police charge et gaz les manifestants à #Montreuil où le Ministre de la Santé #FrançoisBraun est en visite. Des manifestants ont réussi à entrer à l’intérieur de l’enceinte du centre de santé. (Le Média TV)#21avril
https://fb.watch/k2rePARx_e/
AU JOUR N°5 D’APAISEMENT, E. BORNE FAIT EVACUER PAR LA FORCE DES MANIFESTANTS QUI MANIFESTAIENT PACIFIQUEMENT A CHATEAUROUX PARCE QU’ELLE NE VEUT PAS ENTENDRE LE BRUIT DES CASSEROLES
https://www.facebook.com/watch/?ref=search&v=693887785756502&external_log_id=0fa36cc1-e151-4008-9f76-8fc30f1f2ba0&q=mobilisation%20borne%20chateauroux%2021%20avril%202023
Intervilles vs interflics
A Châteauroux, il y avait du monde pour recevoir la ministre et lui faire entendre mais personne pour l’accueillir et plébisciter son bilan dors et déjà désastreux.
Afin d’éviter la confrontation avec la réalité, la police procède à une dispersion brutale des manifestants. Visiblement même la colère n’épargne pas les seniors tout aussi déterminés à se faire entendre.
À l’approche des JO alors qu’Intervilles vient à peine de commencer , on rappelle que l’important c’est de participer.
Elisabeth Borne, mauvaise joueuse avait déjà perdu en abandonnant le dialogue, elle est vaincue une nouvelle fois en refusant tout contact avec les castelroussins qui peuvent être fiers d’eux/elles.
🎥 NPA 36, Nouvelle République : https://fb.watch/k2pRW1bv2A/