XV VOUS ÊTES GLOUTONS D’OR, VOILÀ VOTRE DÉMENCE.
La voilà la vrai face des anges, pensez-vous que j’affabule ?
Adorateurs du dieu qui dévore ses enfants, le pire !
Quelle indignité ! IgNominie, pouR ne pas le dIre.
Appelle moi de l’occulte, le jurisconsul(.:T :.)e.
XVI ALORS CHOISIS, SATOR, TENET, OPERA, ROTAS ou APERO ?
T’es tellement limité, tu sais compter que jusqu’à neuf,
t’as même pas vu qu’avec ces lettres on peut écrire TAROTS :.,
d’où crois-tu que je tire la connaissance ? D’un Œuf ?
La structure de votre système de croyance,
Le carré et le cercle,
pour ôter de l’humanité tout espoir de délivrance,
Vous faites ça depuis des siècles.
Carré et quatre font deux fois la paire,
d’ALLH à YHVH, en passant par la Terre,
Vous pensez construire des N :.O :.M :. intelligents ?
Ka’ba et Teffila hypnotisent les gens.
Vous avez même réussi à avoir Sophia et Amalthé,
Y’en a une elle passe sa journée devant la télé,
et l’autre elle se réveille en prenant de la C.
SUR LA MECQUE, t’es juste bon à finir dans les WC.
Alors tu vas faire quoi, le grand MALÉFIQUE ?
Aussi vulgaire que téméraire, t’es aveugle, c’est tragique.
Tout le monde sait qui tu es, même les plus sceptiques !
On en parle du symbole de l’homme au sein de ton carré magique ?
XVII LE VOILÀ, FAUST, LE GRAND MYSTÈRE
du livre de la Sorcière,
emprisonnées dans la tour phallique,
par la croix surmontée, classique.
I, Pet Goat II, vidéo Iconique !
Le socle, de ton système s’effondre,
Bad Boy.
Qu’est ce que tu crois que je vais te pondre ?
Que le Messiah est goy ?
Bin alors, il dit quoi de ça, ton peuple élu ?
Peut-être que lire tes li(. :È :.)vres, ça l’intéresse plus ?
XVIII HÉ OUI, LE CARRÉ NOIR, QUI ENFERME FEMMES ET ENFANTS.
QUI LES VIOLE, QUI LES FRAPPE, LES MUTILE, LES RENIE,
LES FOUETTE, LES DILAPIDE, LES LAISSE CREVER ET LES OUBLIE.
AUSSI VRAI QU’EUGÉNISME NE SERT . :À_R(Y)[.:I :.]EN :., VRAIMENT.
AUSSI VRAI QUE POUR LE DÉTRUIRE, IL SUFFIT D’UN CAILLOU BLANC.
Vous êtes l’Ômbre de l’enfant seul,
s’infligeant lui-même le ciseau dans l’crâne :
vous êtes l’Un-Seul.
Même les terroristes valent mieux que vous,
au moins ils disparaissent après leur coup.
Opiniâtre, Infantile, Tyrannique, vous restez là,
Votre Orgueil vous le traînerez dans l’EAU-delà.
En vérité, je vous le dis,
pour que l’Étoile brille,
dans ce fléau instille,
une (faire-)part d’Humilité, l’ami.
Le voilà, le Secret, en toute vérité.
XVIIII LE VOILÀ, LE MAGNUM OPUS DE L’HUMANITÉ.
Vous provoquez, du haut de votre suffisance,
mépris, injustice, médisance.
Je vous remercie,
car je m’en nourris,
pour que, dès aujourd’hui,
nous vous mettions à l’huis.
XIX C’EST À VOUS QUE JE M’ADRESSE, MONSIEUR LE PRÉSIDENT.
Mais ce n’est pas vous que je vise,
vous le comprendriez en entendant ma devise.
Car comme vous, je suis aussi gentil que méchant.
Mais ça c’est en théorie.
Jusqu’à maintenant j’ai été poli,
mais j’aimerais conclure par une phrase d’[.:im :.]politesse,
pour que Quenelle-Zgegdehouf se glisse dans vos fesse :
Bon Manu, tu permettes que je t’appelle Manu, on se connaît maintenant, on peut dire qu’on est comme frères, t’as vu ? On a l’impression de se connaître, alors qu’on vient à peine de se rencontrer. Alors t’es peut-être un traître, mais ça, il y a qu’à toi même que tu peux le prouver. Souviens toi qu’en France, on coupe la tête des rois quand ils foirent leur gouvernance. Alors accroche toi bien, parce que celle là, elle va t’énerver cousin :
XX TU SAIS POURQUOI ÇA SERT À RIEN DE T’ÉCRIRE NIQUE TA MÈRE M’SIEUR L’PRÉSIDENT ? PARCE QUE TA FEMME, ELLE EST TELLEMENT VIEILLE, QU’ON PEUT DIRE QUE TU NIQUES DÉJÀ TA MAMAN.
Et veuillez croire, m’sieur le téméraire, avec tout le respect que je ne vous dois pas, qu’avec mes salutations sincères, j’aimerai vous rappeler une dernière fois, d’aller bien vous faire prendre par derrière.
Et j’viendrais avec une rose,
l’idée des épines dans le cul,
j’te jure ça s’impose.
XXI Aussi vrai que je suis le voisin de Sagesse.
Et le fils de la Vieille Sorcière Rebelle,
En ces temps d’Apocalypse, entendez mon nouveau N :.O :.M :.
Car, en vérité, un homme averti en vaut deux, non ?
Je ne suis plus le trois fois grand, dommage
des dieux le porteur de message,
mais bien celui (qu)[.:K :.]i, ppour
vaincre de lui-même, du V :.I :.T :.R :.I :.O :.L :. le retour
fut possible et franchir, de la .:MORT :., le passage,
compris que pour s’en sortir, il fallait être au moins (. : ! :.) deux fois sage.
Entendez bien ce que je dis :
JE suis non plus le trois fois très grand, mais bien le deux fois très sage.
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