Le corps humain (pareil pour les plantes et autres animaux) n’est pas un élément fini ; il est plutôt une sorte de ’blob’, un amas constitué de milliards de cellules interdépendantes, parmi lesquelles d’innombrables virus, bactéries etc., vivant en équilibre.
Le corps physique que nous percevons (à travers la vue et le toucher) n’est en fait que la traduction par nos sens d’un état d’énergie/vibration particulier notamment des particules élémentaires (molécules, atomes, quarks…) de ses éléments constitutifs. Mais pas que. Cet état d’énergie est sensible à divers facteurs - notamment la température ou la pression - et est par ailleurs tributaire de l’environnement dans lequel il évolue.
Le principe même de l’équilibre est qu’il n’est jamais statique.
Le fonctionnement du système est régi par des codes, notamment ceux inscrits dans l’ADN, mais pas que.
Le maintien de l’équilibre est assuré par des mécanismes de régulation.
Le corps humain s’inscrit dans un cycle naturel, de la naissance à la mort, en interaction avec les autres systèmes vivants.
Les maladies et les épidémies s’inscrivent elles aussi dans des cycles naturels.
Il ne faut pas confondre maladie et dégénérescence : les mécanismes et les finalités n’en sont pas du tout les mêmes.
Une maladie (affection), cela S’ATTRAPE [1] [2] (action délibérée ; c’est l’occasion pour le système de se saisir d’informations nouvelles qui lui permettront d’évoluer vers un nouvel état d’équilibre, plus stable que le précédent. Le vecteur de ce type d’informations est souvent un virus ou une bactérie de passage - mais pas que).
L’ADN humain comporte des séquences entières héritées de divers virus.
Ce n’est pas la présence du vecteur qui induit la maladie, c’est l’acceptation de la confrontation de l’organisme avec la nouveauté. Pourquoi sinon, même en l’absence d’immunité acquise, certains organismes ne sont-ils pas du tout affectés par des agents pourtant réputés hautement pathogènes ? la notion de porteur sain mettant à mal la doxa éradicatrice - à travers la vaccination de masse - mérite plus ample réflexion, non ?
Toute maladie s’inscrit dans un environnement/contexte donné.
Dès lors que l’information fournie par le virus/la bactérie a été assimilée, le système ‘immunitaire’ rappelle à l’organisme qu’il a déjà ce qu’il faut, évitant tout risque de doublons.
Ce n’est pas en gommant les symptômes que l’on fait disparaître une maladie, mais plutôt en accompagnant et en soutenant les efforts de l’organisme par apport d’énergie vitale.
Tout comme la finalité de la vie n’est pas l’immortalité, la finalité de la maladie n’est pas la destruction, mais l’évolution et la transmission.
Le virus/la bactérie n’a aucun intérêt à tuer son hôte ; il en va de sa propre survie.
La vie ne se maintient qu’à travers l’échange, de vivant à vivant (énergie vitale). Les interactions privilégiées sont celles qui assurent les équilibres les plus stables (ceux qui nécessitent le moins d’énergie).
Les virus et bactéries possèdent d’étonnantes facultés d’évolution et de survie, à travers les mutations, les changements de réservoirs hôtes, les modes de circulation. Il est tout à fait illusoire de vouloir prétendre à leur éradication, d’autant que la nature a horreur du vide (un de perdu, dix de retrouvés ?).
Parfois, le retour à l’équilibre (virus ou pas virus) est impossible, et c’est la mort. Parfois, le rétablissement de l’équilibre nécessite le basculement quasi complet (effet culbuto) et l’élimination de l’élément perturbateur.
Le Masque Jaune