Comme prévu de longue date, les catastrophes écologiques et climatiques provoquées par la civilisation industrielle continuent et souvent s’accélérent. Quelques exemples ci-dessous. Des zones deviennent inhabitables et la misère augmente.
Mais l’important et l’urgent pour le capitalisme et les Etats c’est de dépenser des centaines de milliards pour les stupides IA, pour les armes et la guerre.
Renouons urgemment avec l’action collective déterminée (désobéissance, révolte, émeutes, grèves, sabotages, manifestations, occupations, alternatives radicales, blocages...), car le replis sur la survie individuelle et la conso vertueuse ne nous protège pas.
La sécurité c’est le soulèvement général.
- Au Maroc, le sacrifice de l’Aïd est annulé, les éleveurs à la peine - C’est historique : le roi a appelé les Marocains à ne pas tuer de moutons pour l’Aïd. En cause : une sécheresse qui s’éternise, mettant les éleveurs à rude épreuve, et des prix de la viande astronomiques.
- En Amazonie, la déforestation altère aussi les précipitations (...) Attention toutefois : à long terme et à grande échelle, la principale menace qui pèse sur le poumon vert demeure bel et bien l’assèchement, avec le risque que la forêt ne devienne une immense savane.
- En Arctique et en Antarctique, l’étendue de la banquise n’a jamais été aussi faible (...) Même si février 2025 n’est que le troisième mois de février le plus chaud des annales, il reste toutefois hors norme, plus chaud de 1,5 °C par rapport au niveau préindustriel, souligne Copernicus. Incendies en Argentine et au Japon, cyclones... « Les températures étaient supérieures à la moyenne dans le nord du Chili et de l’Argentine, dans l’ouest de l’Australie et dans le sud-ouest des États-Unis et du Mexique », note Copernicus.
- En Bretagne, deux communes ont bu de l’eau contaminée aux PFAS pendant des années (...) Ce que montre Splann !, c’est que ces taux alarmants de polluants éternels « avaient été détectés dès 2017 ». Or, malgré ces informations, la population n’a pas été tenue au courant par les pouvoirs publics.
Une inaction de l’État récurrente en ce qui concerne la contamination de l’eau. Comme Reporterre le racontait en janvier, la pollution de l’eau potable au chlorure de vinyle monomère, un « cancérigène certain », persiste dans de nombreuses communes, bien qu’elle soit connue depuis plus d’une décennie. - « Qu’est-ce qu’on peut faire ? » : à Penmarc’h, 40 % des terres seront sous l’eau en 2100
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