Avec les canicules ou les variations extrêmes (gel, inondations), le réchauffement climatique met en péril la production agricole, en détruisant les plantes ou les fleurs.
Sans parler de la destruction des pollinisateurs par les actions de la civilisation industrielle.
A terme de nombreuses zones seront incultivables, et désertées. Dans les régions les plus riches, l’agro-industrie en usines/serres remplacera l’agriculture paysanne et vivrière, loin des rêves d’autonomie et de permaculture...
Ces canicules tuent et font souffrir également les plantes et animaux sauvages, déjà bien amochés par l’industrialisation, l’urbanisation et les produits toxiques et pesticides déversés partout.
Mais l’important c’est de continuer la croissance et de réindustrialiser, pour maintenir les emplois, la puissance et le productivisme. Surtout de pas changer de modèle, mais l’adapter, le technologiser, « mieux » le gérer.
L’agriculture ne peut pas perdurer très longtemps sous des températures de l’air de 48°C et plus, ainsi que face à des sécheresses sévères et persistantes. Les cultures de blé de l’Inde sont en proie à ces températures depuis près de 40 jours.
A partir de 32°C, les plantes ferment leurs stomates et le processus de photosynthèse s’arrête, entrainant l’arrêt du développement de la plante.
(extraits de posts internet)