Le préfet Lallement avoue qu’il défend le camp du capital et de la bourgeoisie

Une dame à Paris : « Oui je suis gilet jaune »
Réponse du préfet Lallement : « Alors nous ne sommes pas dans le même camp madame. »

Le préfet #Lallement ne cherche même plus à préserver les apparences de l’illusion démocratique : il se pose en chef d’une milice au service des intérêts du bloc au pouvoir qui fait la guerre à sa propre population.

 Une vidéo et commentaire postés par ACTA

Le préfet Lallement avoue qu’il n’y a pas de démocratie mais des camps qui s’affrontent. Ici, d’un côté le bloc bourgeois dont les intérêts sont défendus brutalement par les flics, de l’autre des gilets jaunes et autres rebelles qui luttent pour la démocratie et la justice sociale.

Police nationale, milice du capital !

Comme le PDG de TF1 qui a avoué un jour que le rôle des émissions de TF1 était de rendre les cerveaux disponibles à la pub, le préfet Lallement, ivre de pouvoir et de cynisme avoue la réalité de l’absence de démocratie fraternelle.

Ce régime ne tient plus que par sa police...

Police nationale, milice du capital !