Avec Bayrou on prend les mêmes tyrans et on recommence, en pire, histoire de bien signifier que la même politique de merde va être menée.
Avec un tel ramassis d’ordures, ils vont devoir ouvrir grand les fenêtres des palais pour ne pas s’étouffer sous les miasmes. Mais il faut dire qu’ils se sont habitués depuis 2017 à leur odeur de peste brune rance, ils ne doivent plus rien sentir. Le parfum de rose ou de muguet doit même les indisposer sévère.
Joyeux Noël ! Avec cette sinistres bande d’extrémistes, on va en bouffer du Kloug moisi, avec ou sans faim.
Quand est-ce qu’on tire la chasse ?! Avec une bonne dose de « destop » (bio) car les étrons ça s’accroche.
- Le père noël est une ordure - Ancien nouveau gouvernement despotique
- Le père noël est une ordure - Ancien nouveau gouvernement despotique
Ce n’est pas un gouvernement, c’est le Titanic
On ne s’attendait à rien, on est quand même déçus : François Bayrou a décidé d’offrir aux français un cadeau de Noël encore plus irritant qu’un pull de grand-mère en mohair.
Pour le quatrième gouvernement de l’année 2024, le nouveau Premier Ministre poursuit sur la ligne de droite extrême du gouvernement Barnier : il réalise la même mixture de macronistes radicalisés et de déchets issus du parti Les Républicains. C’est-à-dire un socle ultra-minoritaire qui a été massivement rejeté lors des dernières élections.
C’est donc le deuxième coup d’État institutionnel en 4 mois seulement de la part de Macron, et tout ça juste après une motion de censure. Le secrétaire général de l’Élysée vient d’annoncer ce lundi 23 décembre les noms des Ministres.
Ceux qui restent au gouvernement
Bruno Retailleau reste Ministre de l’Intérieur
Obscur politicien vendéen d’extrême droite, qui parle de « français de papiers » et de « régression ethnique » à propos des habitant-es des quartiers, il a déjà doublé Marine Le Pen sur sa droite, est devenu l’égérie de CNews tout en multipliant les fake news.
Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des affaires étrangères
Il s’est fait piétiner comme un paillasson par l’État israélien lors d’un déplacement officiel à Jérusalem. Le 7 novembre, devant la presse, ce vermisseau a été refoulé d’un monastère qui était sous souveraineté française par la police israélienne armée.
Symboliquement, c’est un acte de guerre diplomatique et une violation d’un territoire français. Dans la foulée, les policiers israéliens avaient même brutalisé et arrêté deux gendarmes français devant le Ministre. Et devinez quoi ? Ce dernier s’était pitoyablement écrasé.
Pire le 27 novembre, alors qu’un mandat d’arrêt international était émis contre Netanyahou, Jean-Noël Barrot annonçait que, contrairement à la majorité des pays du globe, le gouvernement français n’arrêterait pas le Premier Ministre israélien s’il venait en France et qu’il n’appliquerait donc pas le droit international. Complicité génocidaire jusqu’au bout.
Sébastien Lecornu, ministre des armées
Il est en réalité VRP des marchands d’armes bleu blanc rouge, dont les avions et les obus vendus partout dans le monde servent à commettre des génocides et des guerres impérialistes.
Rachida Dati, ministre de la culture
Mise en examen pour corruption et trafic d’influence, a récemment insulté les journalistes de Mediapart de « salopards […], enculés” ou encore “minables”.
Geneviève Darrieussecq, ministre de la santé et de l’accès aux soins
Celle qu’on n’entend pas alors que le système de santé français est en train de collapser.
Annie Genevard, officiellement ministre de l’agriculture
Mais en réalité, représentante des intérêts des lobbys agro-industriels.
Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition écologique
En guise d’écolo, elle est liée aux lobbys du pétrole par sa famille. Elle est l’héritière d’une famille d’entrepreneurs dans le pétrole. Son père a été patron de l’entreprise pétrolière Perenco, qui a fait fortune dans l’exploitation des puits d’hydrocarbure en fin de vie, et elle-même a travaillé comme directrice de la division « clients recherche et développement » d’un équipementier automobile pour Jaguar, Land Rover, General Motors et Volvo.
Catherine Vautrin, ministre du travail
Anti-mariage homosexuel et proche de la Manif Pour Tous. En 2022, Macron a failli la nommer Première Ministre, provoquant une levée de boucliers au sein des macronistes, pourtant peu regardants.
Ceux qui entrent au gouvernement
Gérald Darmanin, Ministre de la Justice
Il nous aurait presque manqué. Après avoir été l’un des Ministres de l’Intérieur les plus violents de la Cinquième République, après avoir été accusé de viols et avoir dit que Marine Le Pen était « trop molle » vis-à-vis des musulmans, l’ancien premier flic de France prend la direction du système judiciaire. Vive la séparation des pouvoirs !
Manuel Valls, ministre des Outre-mer
Ancien socialiste passé à l’extrême droite, il n’a pas hésité à s’allier à des fascistes lors de sa tentative d’élection à Barcelone. Celui qui veut « plus de blancos » est chargé de poursuivre la répression coloniale en Kanaky et dans les Antilles. Un choix cohérent, et la preuve qu’il ne faut jamais perdre espoir : à force de retourner sa veste, elle finira peut-être un jour à retomber à l’endroit sur les épaules du ministre de la veulerie.
François Rebsamen, ministre de l’aménagement du territoire et de la décentralisation
Un socialiste passé chez Macron depuis longtemps, mais qui va servir à donner un semblant de « pluralité » au gouvernement. Mais ce vieillard a-t-il seulement été de gauche un jour ?
Éric Lombard, ministre de l’économie
Un banquier, ancien de la firme mafieuse BNP, pour concocter le plan d’austérité massive que Bruno Le Maire avait tenté de faire passer.
Élisabeth Borne, ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur, de la recherche, du numérique et de l’innovation
Madame 49.3, congédiée comme une malpropre par Macron au début de l’année, revient pour continuer le travail de démolition de l’école publique.
Un gouvernement pour combien de temps ?
Cette équipe, qui n’a pas plus de légitimité ni d’assise démocratique que la précédente, et qui n’a absolument aucune intention de changer de cap par rapport au gouvernement Barnier, s’expose logiquement au même risque de censure que le précédent gouvernement minoritaire. Un proche du Président confie au Parisien : « La différence avec le Titanic, c’est que ceux qui sont alors montés à bord ne savaient pas que le paquebot allait couler ».
De son côté, Bayrou a déjà battu un record historique : 66% des Français sont mécontents de sa nomination. L’Ifop, qui réalise ce sondage depuis près de 7 décennies, n’a jamais mesuré un niveau d’impopularité aussi élevé pour un 1er ministre immédiatement après sa prise de fonction.
Le naufrage continue. À l’abordage !
source, avec des liens complémentaires : https://contre-attaque.net/2024/12/23/ce-nest-pas-un-gouvernement-cest-le-titanic/
UN GOUVERNEMENT DE VIEILLERIES RECYCLEES SORTIES DES POUBELLES DE L’HISTOIRE
LA SEULE REPONSE, CENSURE ET DESTITUTION !
ET EN JANVIER DANS LA RUE
Un gouvernement en forme de provocation, le putsch assumé jusqu’au foutage de gueule : Darmanin à la justice qui a menti au juge en affirmant que son père était mort alors qu’il ne l’était pas pour se défendre d’accusations de viol, Retailleau à la police un vichyste attardé, et Valls que même les espagnols n’ont pas voulu à l’outremer, double peine pour les habitants de Mayotte après le cyclone et un soulèvement à prévoir en Kanaky, Borne à l’Éducation Nationale, pour calmer la légitime colère des profs à coup de 49-3, Aurore Bergé ministre chargée de l’égalité femmes-hommes, pour la remercier d’avoir été la lobbyste des crèches privées, Rachida Dati maintenue ministre malgré la demande récente d’un procès...
(post de J Chastaing)
- Le père noël est une ordure - Ancien nouveau gouvernement despotique
- Le père noël est une ordure - Ancien nouveau gouvernement despotique
Confirmation que ce nouveau gouvernement est une continuité de l’insulte démocratique.
Xavier Bertrand a déclaré que le RN avait validé le choix des ministres avant leur annonce.
Résultat : des racistes qui se prétendent de gauche, avec des racistes qui s’assument de droite.
Manuel Valls est nommé aux outre-mer, Elisabeth Borne à l’éducation nationale, Gérald Darmanin à la justice
Bruno Retailleau reste ministre de l’intérieur, François Rebsamen est nommé à l’aménagement du territoire.
Liste à suivre
(post de CND)
- Le père noël est une ordure - Ancien nouveau gouvernement despotique
- Brochette rance
Un gouvernement validé par le RN
« Le premier ministre m’a informé ce matin, contrairement à ce qu’il m’avait proposé hier, qu’il n’était plus en mesure de me confier la responsabilité du ministère de la justice en raison de l’opposition du Rassemblement National […] je refuse de participer à un gouvernement de la France formé avec l’aval de Marine Le Pen ».
Ce message a été publié hier, 23 décembre au soir, par Xavier Bertrand, politicien très réactionnaire du nord de la France, par ailleurs détesté par le RN. Les états d’âme de ce monsieur sont assez peu intéressants. Ce qui l’est, c’est qu’il révèle qu’une nouvelle fois le gouvernement a été composé avec la validation du RN. Cela veut d’abord dire que le clan Le Pen a choisi et approuvé la nomination de Manuel Valls, Gérald Darmanin, François Rebsamen et les autres. Un casting qui ressemble à l’affiche des superméchants dans un film de série B.
Xavier Bertrand, président de la Région des Hauts-de-France, s’est vu retirer son poste à la dernière minute sur demande expresse de l’extrême droite parce qu’il n’est pas assez raciste. À la place, Bayrou a nommé comme Ministre de la Justice Gérald Darmanin, qui est lui très proche du RN. Il trouve même Marine Le Pen « trop molle »… et il s’est dernièrement illustré en soutenant Marine Le Pen dans le cadre de son procès pour détournement de fonds. Alors que la candidate d’extrême droite est menacée d’inéligibilité par la justice, Darmanin avait violemment critiqué les réquisitions. Avec un tel Ministre de la Justice, la candidate est assurée de ne pas être condamnée.
Par le passé Darmanin avait aussi attaqué les juges dans le cadre affaire Fillon, mais aussi lors de la condamnation de son copain Nicolas Sarkozy. Un tel homme à la tête de la Justice est une déclaration de guerre aux magistrats.
Bayrou lui-même est à la tête d’un parti condamné par la justice, le Modem, et il doit être jugé prochainement en appel. Il a, lui aussi, publiquement soutenu la présidente du RN dans le cadre de son procès. Hier soir, il a même refusé de qualifier le RN de parti d’extrême droite, en se contentant de déclarer que, pour lui, le parti « ne respecte pas un certain nombre de valeurs et de principes, il est protestataire ». Finalement, le RN est donc un interlocuteur acceptable, contrairement à la France Insoumise, constamment traitée d’« anti-républicaine ».
Juste avant l’élection présidentielle de 2022, François Bayrou avait déjà volé au secours de Marine Le Pen pour lui donner sa signature, nécessaire pour se présenter. À l’époque, il disait avoir parrainé Le Pen « pour sauver la démocratie ».
Lors d’un débat télévisé pour les législatives de 2022, face à un député du Rassemblement National, Bayrou avait été très conciliant avec le parti. Il avait lancé à son propos : « Je ne sais pas si ça s’appelle extrême droite ». Même le droitard Jean-François Copé, présent sur le plateau, avait été choqué : « Ça, c’est la meilleure de l’année. Vous faites une concession à l’extrême droite qui est vraiment touchante ! » Historiquement, l’extrême centre n’a pourtant jamais hésité à nouer des alliances avec les fascistes en temps de crise.
À l’inverse, en septembre dernier, François Bayrou, déclarait sur BFM à propos de la dissolution : « Le but de cette élection n’était pas de désigner un vainqueur mais d’écarter des gens dont on ne voulait pas ». Sous-entendu : les partis de gauche. Dans le monde de Bayrou, le RN n’est pas d’extrême droite, et il faut même sa validation pour choisir les membres du gouvernement, mais la gauche, même molle, doit être « écartée ».
Cette soumission totale au RN ne paiera même pas. Le président du Rassemblement National, Jordan Bardella, s’est moqué de Bayrou sur Twitter : « Heureusement que le ridicule ne tue pas. Hélas, rien n’aura été épargné aux Français : François Bayrou a réuni la coalition de l’échec ». « La coalition des minorités macronistes accouche en catastrophe d’un gouvernement enchaîné à l’impuissance du ‘en même temps’ » écrit de son côté Eric Ciotti. Sur internet, l’extrême droite se déchaîne contre le nouveau Premier Ministre.
Autrement dit, le gouvernement est sous contrôle du RN, qui va en tirer parti au maximum en lui réclamant les lois les plus racistes et liberticides possibles, avant de le censurer comme il l’a fait pour Barnier. En attendant la prochaine dissolution.
Le macronisme aura été le marchepied du RN jusqu’à la plus ultime limite.
source, avec des liens complémentaires : https://contre-attaque.net/2024/12/24/un-gouvernement-valide-par-le-rn/
Manuel Valls : l’étron de Noël
Félicitations à cet auditeur de France Inter qui s’est levé tôt ce mardi 24 décembre, qui a annoncé une question innocente et sympathique au standard pour passer le « filtre » de la censure, et qui a finalement dit en direct à Valls qu’il est un traître et « pire qu’un étron », au lendemain de sa nomination en tant que ministre.
Jolie performance, avec en prime le choix du pseudonyme « Jean-Noël » qui ne doit certainement rien au hasard en ce jour de fête. Des dizaines de millions de français le remercient.
vidéo : https://contre-attaque.net/2024/12/24/manuel-valls-letron-de-noel/
Sous-titré par Cerveaux non disponibles