A présent que les climatosceptiques sont renvoyés aux poubelles par la force des faits, et l’observation que la réalité mesurée est pire que les pires des modèles établis auparavant, l’enjeu change de nature.
Avant, on pouvait encore différer, éluder, minimiser les catastrophes climatiques/écologiques/sociales en cours, et croire aux promesses vagues des gouvernements et COP.
A présent, il est devenu impossible de nier ou d’occulter les désastres et leur accélération, alors l’enjeu devient « QUE FAIRE ? »
A présent, les causes des désastres sont encore plus évidentes, alors va-t-on se contenter d’atténuer certaines conséquences ?
Pour les tenants du pouvoir économique et politique, les « solutions » sont dans une simple adaptation de la civilisation industrielle, de nouvelles technologies pourraient palier les problèmes créés par les technologies précédentes, maintenir la Croissance économique permettrait de résoudre les problèmes créés par la Croissance...
Nombre « d’écologistes » grand public rivalisent d’inventions lexicales et de prospectives afin de garder la civilisation industrielle et son capitalisme tout en préservant la planète et le vivant.
Le seul petit problème, c’est que c’est IMPOSSIBLE.
Cet article présente bien ce problème crucial :
Sauver la civilisation, sauver le monde, régler tous nos problèmes, etc.
Et donc, QUE FAIRE ?
En fait, nous le savons, mais allons-nous l’accepter, le mettre en oeuvre ?
- L’écologisme grand public et ses promesses absurdes et suicidaires
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