Assurer la paix impériale ne s’est jamais fait sans violence. Mais aujourd’hui, pour les grandes puissances, c’est la guerre elle-même qui fait son retour. Les dépenses militaires explosent partout dans le monde, et les profits des industriels de l’armement aussi.
Les fauteurs de guerre ont des noms et des adresses.
Notre coalition regroupe de nombreux collectifs et individus de tous horizons, visant à désarmer la machine de guerre et relancer un anti-militarisme populaire. Elle s’organise dès à présent, et annoncera des actions de grande ampleur dans les semaines qui viennent.
Ils sont en guerre, nous sommes un front, rendez-vous au printemps !
La suite en vignettes sur : https://contre-attaque.net/2025/01/16/guerre-a-la-guerre/
Voir aussi :
Le capitalisme c’est la guerre - Un lundisoir avec Nils Andersson - Comme il y aura toujours besoin de s’organiser et de penser pour faire la guerre à la guerre, il est nécessaire de rappeler et transmettre les résistances populaires. Il s’agit de faire le travail dialectique pour actualiser les analyses de l’ADN abominable du capitalisme : la guerre.
C’est ce que propose Nils Andersson, militant anticolonialiste et communiste à travers deux livres : Les guerres annoncées et Le capitalisme c’est la guerre. Il s’agit de faire l’histoire du temps présent, celle du capitalisme et de la réalité morbide des impérialismes, marchands de guerres et de génocides. Et de rappeler la responsabilité de l’occident dans les guerres annoncées du XXIe siècle.
Des sujets plus que jamais d’actualité, alors que le cumul des différentes « crises fabriquées par la civilisation industrielle se profile : pollutions »éternelles", crises économiques, pénuries de certaines matières premières et manque d’énergies (absorbées par les IA), catastrophes climatiques, destructions écologiques et éradications des êtres vivants, néofascismes.... et donc guerres, comme moyens et comme fins, comme conséquence du système en place et comme moyen destructeur et sans espoirt de le faire tenir un peu plus sous ses propres coups.