Sur infokiosque, on trouve cette brochure :
La rage contre la vidéosurveillance - 2020-2021
Un travail d’enquête journalistique, qui répertorie des faits pour alimenter les livres d’histoire et la réflexion de toutes et tous :
« Les premières caméras qui ont été mises à Marseille, il n’y a pas si longtemps, une dizaine d’années maintenant, un peu plus, il y a une quinzaine d’années, hé bah les gens ils grimpaient, ils les arrachaient, ils les cassaient (…). J’imagine qu’à Nice, ça devait être pareil, les premières caméras… il y avait des groupes anti-caméras, mais il y a tellement de caméras maintenant qu’ils ont fini par se lasser. »
Un mec de la Ligue des Droits de l’Homme de Nice, dans le documentaire d’Olivier Lamour Fliquez-vous les uns les autres, 2020.
- Brochure La rage contre la vidéosurveillance
- La surveillance biométrique est en marche, à moins que...
Pour info, en Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez veut fortement accentuer la vidéosurveillance partout, y compris biométrique, extrait :
- Brigade de sécurité dans les lycées et leurs abords
- Augmentation de 50% des effectifs de la police ferroviaire
- 10 000 nouvelles caméras de vidéosurveillance
- Expérimentation de la reconnaissance faciale pour lutter contre le terrorisme
- Bus scolaires équipés en caméras de vidéosurveillance
La vidéosurveillance, c’est coûteux mais ça ne marche pas
Un rapport prouve l’inefficacité de la vidéosurveillance - Fin août, Jean-Marc Leclerc, journaliste au Figaro, tenait une « exclusivité » : un « rapport confidentiel qui prouve l’efficacité de la vidéosurveillance », et démontrait l’ »effet dissuasif des caméras sur la voie publique »
En revanche, ça marche pour la com électorale et pour donner l’impression que l’élu fait quelque chose d’utile.