J’ai suivi la naissance et l’évolution du groupe Telegram lié au site mobilisation10septembre.blog, dont plusieurs médias avaient parlé.
Voici (...)
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A l’approche des élections de 2022, le macronisme (re)découvre qu’il a dans ses électeurs potentiels des personnes apparentées à gauche, alors (...)
La plupart des gens croient que l’école est obligatoire, hors c’est (c’était...) totalement faux, seule l’instruction est obligatoire, elle peut (...)
LE GRAND ENGOURDISSEMENT PSYCHIQUE Dans un monde saturé d’alertes, d’urgences et de tragédies diffusées en continu, une autre forme de crise (...)
En Serbie depuis 8 mois, des tas de manifs un peu partout, des assemblées, de la démocratie directe, des résistances à la répression, des (...)
Le journaliste et traducteur Ibrahim Badra lance un énième appel au monde, alors que la famine ravage la bande de Gaza. « Que devrions-nous faire ? Quelqu’un peut-il me répondre ? », écrit-il.
Sans arrêt la mégamachine nous vend l’IA et le numérique, en mettant en avant leurs supposés avantages et leur recherche, courronnée d’échec, de (...)
Alors que le tyran Macron en remet une couche sur la militarisation à marche forcée de la jeunesse pour faciliter son sacrifice sanglant (sa (...)
Le 17 juillet 2025, la cour d’appel de Paris a ordonné la libération de Georges Ibrahim Abdallah. Militant et cofondateur des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), il avait été condamné, malgré un dossier vide, à la perpétuité pour complicité dans les assassinats de deux diplomates israélien et états-unien en 1982. Libérable depuis 1999, il restait, à 74 ans, le plus ancien prisonnier politique de France. Il a été libéré et expulsé vers le Liban le 25 juillet 2025.
Après 22 mois de cette agression horrible, la situation va de mal en pire dans la bande de Gaza. Le slogan « Personne ne meurt de la faim à Gaza » a été remplacé par « Tout le monde crève de faim à Gaza ». En ce qui me concerne, je reste parfois deux ou trois jours sans rien manger. Je préfère donner un morceau de pain pour mes enfants au lieu de manger. On est arrivés à une situation catastrophique. Par Ziad Medoukh, écrivain résidant à Gaza.
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