L’effroyable projet Lyon-Turin qui défonce les montagnes et vallées, comme de nombreux autres projets écocidaires/antisociaux, continue (...)
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A la moindre occasion, la meute radicalisée des « facho-droitistes » et autres « catho-capitalistes » se déchaine et invente des accusations (...)
Le vote de la loi Duplomb par 316 criminels assumés signe un nouveau tournant dans l’aggravation volontariste de l’écocide et de (...)
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Et voilà Macron repartit en guerre !
Après l’avoir déclarée à un virus, le sociopathe poursuit sa rhétorique martiale et sa politique (...)
Dans l’urgence, avec des financements publics en berne et pour les locataires soumis au bon vouloir de propriétaires pour les travaux (...)
Rami Abou Jamous écrit son journal pour Orient XXI. Fondateur de GazaPress, un bureau qui fournissait aide et traduction aux journalistes occidentaux, il a dû quitter en octobre 2023 son appartement de Gaza-ville avec sa femme Sabah, les enfants de celle-ci, et leur fils Walid, trois ans, sous la menace de l’armée israélienne. Réfugiée depuis à Rafah, la famille a dû ensuite se déplacer vers Deir El-Balah et plus tard à Nusseirat, coincés comme tant de familles dans cette enclave miséreuse et surpeuplée. Un mois et demi après l’annonce du cessez-le-feu, Rami est enfin de retour chez lui avec sa femme, Walid et le nouveau-né Ramzi. Pour ce journal de bord, Rami a reçu le prix de la presse écrite et le prix Ouest-France au Prix Bayeux pour les correspondants de guerre. Cet espace lui est dédié depuis le 28 février 2024.
Dans la continuité de la guerre économique totale, la mégamachine, par la voix du tyran Macron, s’arme à mort pour accentuer ses guerres et (...)
A partir d’un cas particulier, cet article pose des sujets importants, qui concernent l’ensemble du mileu militant : l’éthique et/ou (...)
Rami Abou Jamous écrit son journal pour Orient XXI. Ce fondateur de GazaPress, un bureau qui fournissait aide et traduction aux journalistes occidentaux, a dû quitter en octobre 2023 son appartement de Gaza-ville avec sa femme Sabah, les enfants de celle-ci, et leur fils Walid, trois ans, sous la menace de l’armée israélienne. Réfugiée depuis à Rafah, la famille a dû ensuite se déplacer vers Deir El-Balah et plus tard à Nusseirat, coincés comme tant de familles dans cette enclave miséreuse et surpeuplée. Un mois et demi après l’annonce du cessez-le-feu, Rami est enfin de retour chez lui avec sa femme, Walid et le nouveau-né Ramzi. Pour ce journal de bord, Rami a reçu le prix de la presse écrite et le prix Ouest-France au Prix Bayeux pour les correspondants de guerre. Cet espace lui est dédié depuis le 28 février 2024.
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