Aucun délai accordé au squat de la maison Cezanne a Gap. Débarquement des forces de l’ordre et expulsion possible a tout moment dès aujourd’hui. (...)
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Actualités de la peste touristique
La belle saison revient, déjà, et, avec elle, comme chaque année, le même fléau du Diois s’abat sur le (...)
Articles, posts, images, vidéos, témoignages... autour du soulèvement en gilets jaunes qui dure depuis plus de 4 mois.
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Suite de la quatrième partie :
https://ricochets.cc/Les-Gilets-jaunes-sont-parvenus-a-creer-un-temps-et-un-espace-qui-leur-etait-propre-entretien.html
Dans cette dernière partie de leur entretien croisé, Joseph Andras et Kaoutar Harchi s’interrogent mutuellement sur leur écriture. Comment écrire communiste, féministe et antiraciste dans un monde où ce qui s’écrit est lié à ce que des milliardaires tolèrent ou refusent de lire ? Leur prose exigeante a ceci de commun qu’elle s’émancipe des canons de la modernité littéraire, en particulier en rompant avec le genre romanesque et la nécessité de présenter des personnages et des intrigues.
Joseph Andras et Kaoutar Harchi ont ceci de commun qu’ils font de la littérature un instrument politique, chacun à leur manière. Ils font perdurer une certaine idée de la gauche, celle qui porte l’inquiétude de son propre échec, celle qui essaye de ne pas plier sous le sentiment de l’inutilité, celle qui tire son engagement des réalités matérielles et non des abstractions théoriques. Les deux écrivains, qui ont fait connaissance via leur éditeur commun, Actes Sud, souhaitaient écrire ensemble un article, voire un livre, sur la littérature et l’engagement politique. Ils ont choisi Frustration Magazine pour amorcer cette réflexion, sous la forme d’un dialogue. Ils nous parlent ainsi des classes sociales, du racisme, du communisme, et au milieu de tout cela, du rôle de l’écriture et de l’espoir porté par les Gilets Jaunes. Aujourd’hui, nous publions la première partie de cet échange ; elle est consacrée à la notion de transfuge, qui nie les rapports sociaux de race. Nous mettrons en ligne chaque semaine la suite de cet entretien en cinq parties.
La ZFE, zone à forte exclusion ?
Le week-end du 14 et 15 octobre aura lieu à Montpellier un rassemblement contre le contournement routier (...)
Bref compte rendu d’un samedi de manif et d’une rencontre de plus avec le sous préfet de Valence
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