je lis « Profitez du chômage ou du RSA, travaillez à temps partiel »... et cela m’apparaît comme une contradiction flagrante du discours, car c’est bien grâce à ceux qui sont dans le système que l’on peut financer le chômage et le RSA...
le désespoir qui peut nous prendre du fait de la proximité du grand effondrement ne doit nous amener à la passivité mais pas non plus à considérer que la priorité est de tout mettre par terre et après on verra... car le chaos ne peut que générer le pire... les inéluctables catastrophes à venir auront enfin une vertu pédagogique et la transition (...)