« Si nous voulons préserver ces populations, nous devons « revisiter notre mode de vie ». « C’est un changement de paradigme sur les thèmes de l’agriculture intensive, de l’artificialisation des sols... », énumère Alain Bougrin-Dubourg.
200 % d’accord. En Bretagne, dans les années 60 et 70, afin de mécaniser les cultures, 200 000 km de haies ont disparu. D’où une chute verticale des petits mammifères et petits oiseaux. 200 % d’accord. Mais n’oublions pas nos couches sales. Parmi les causes de la disparition des petits oiseaux, il faut compter les…chats (chats qui bouffent des (...)