Merci pour ces remarques intéressantes. Mais une « très bonne » répartition des richesses (apte à freiner fortement les invetissements privés) ne sera pas « accordée » comme ça, mais seulement si la crise est grave et qu’il y a des révoltes/grèves importantes. En fait, Etats et entreprises se contentent de lâcher le minimum pour calmer les foules, donc les fortunes ne sont pas tellement affectées, pas au point de ne plus pouvoir investir dans tout et n’importe quoi.
Autre problème, les investissements en tout genre sont indispensables au fonctionnement du capitalisme. Couper court aux (...)