Je vais me répéter ; déjà , en son temps, Sartre auquel des ouvrières travaillant à la chaine, s’étaient laissées aller à confier, que, pendant leur temps de labeur privé de sens, il leur arrivait de se laisser aller, plus fréquemment que supposé, à des rêveries sentimentales, câlines et même érotiques. Et Sartre eut ce mot de conclusion :« au fond, cela signifiait que c’était déjà la machine qui rêvait en elles de caresses.... »