Sandrine disait : Je n’aime pas M. Casaux, non pour sa critique radicale, mais pour l’absence totale de propositions pour un changement radical. Pour être honnête, cette paresse intellectuelle, qui permet de confortablement rester assis sur la crête du virtuel sans jamais opter pour le réel –sans jamais proposer, relève d’une forme de puérilité politique. C’est aussi beaucoup le défaut de nombre d’articles de Ricochets
En fait, Casaux s’inscrit dans un mouvement, DGR, qui fait des propositions assez précises et concrètes pour porter un changement radical, y a même des bouquins (...)