Je n’aime pas M. Casaux, non pour sa critique radicale, mais pour l’absence totale de propositions pour un changement radical. Pour être honnête, cette paresse intellectuelle, qui permet de confortablement rester assis sur la crête du virtuel sans jamais opter pour le réel –sans jamais proposer, relève d’une forme de puérilité politique. C’est aussi beaucoup le défaut de nombre d’articles de Ricochets. Pour autant j’apprécie les critiques de M. Casaux – et celles de Ricochets - et partage ses points de vue sur le transgenrisme, proche cousin du transhumanisme. Mettons de côté les (...)