Bien sûr qu’il y a de quoi pleurer (ou hurler) de rage face à la perspective de se retrouver misérablement encore une fois face à ce paltoquet, bien peigné et fringué toute élégance en qui se cache un impitoyable dictateur tout sourire. Ne croyons pas qu’il ait fait un lapsus en parlant des « gens qui ne sont rien », il le pense réellement et ce surement depuis son enfance d’arrogance bourgeoise partagée par tous ceux de son milieu. Mais, je ne vois pas en quoi on va gagner en puissance de colère et de révolte si, à ce mépris congénital de la haute pour les « sans dents », on (...)