C’est la première fois dans l’histoire de l’épidémiologie que le marqueur central est le nombre de contaminations.
Normalement on s’intéresse aux malades et pas aux porteurs sains. Annoncer 200.000 ou 300.000 contaminations/jour n’a aucun sens, à part entretenir la peur, si la plupart d’entre elles sont asymptomatiques. La maladie se manifeste physiquement par un ensemble de phénomènes de dérégulation de la biochimie du corps, pas par le fait de porter un virus. Et si l’on parle de malades, alors il vaut mieux savoir les trois choses suivantes :
1) actuellement les 3/4 des (...)