J’ai cliqué sur votre article avec intérêt, car je partage l’avis de Thierry Ribault sur la résilience, ainsi que celle de nombreux auteurs critiques de l’approche collapso (Comby, Larrère, etc), qui lui reprochent son fatalisme et son individualisme bourgeois. Mais écrire une critique de film alors que vous n’avez pas vu le film (ni vous, ni Nicolas Casaux que vous citez ensuite), je trouve ça franchement limite. Le minimum syndical d’une critique (surtout quand vous prenez à parti une personne en particulier, désignée nommément, comme c’est le cas ici) c’est quand même de la fonder sur (...)