ET TOUJOURS ILS CHÉRISSENT LES CAUSES… Certes, on pourrait dénoncer, comme le font certains altermondialistes, ce congrès grotesque lors duquel les pires destructeurs de la nature vont faire mine de s’inquiéter de son sort, et surtout deviser de nouvelles manières de s’assurer de continuer d’en tirer profit. (On pourrait aussi faire valoir que de toute façon ce congrès n’a aucun sens vu que la nature n’existe pas, comme nous l’apprennent d’éminents penseurs médiatiques très appréciés de l’éco-bourgeoisie comme Descola, Latour & al.).
Mais si c’est pour quémander une autre (...)