A David, suite : Non, on ne prétend pas que l’État est la mère de toutes les misères. Et on ne dit pas qu’il faudrait ne rien mettre à la place de l’État.
Sans doute qu’on ne connaît pas autant de bouquins et d’analyses historiques que vous, on se réfère au présent et à l’histoire récente, et aux dires d’auteurs qu’on considère fiables pour le reste.
En fait, votre raisonnement sur l’État vaut peut-être tant qu’on reste dans le cadre culturel de la civilisation. Mais nous raisonnons autrement car nous pensons qu’il serait souhaitable et possible d’en sortir de la civilisation, sans (...)