Plutôt que du tourisme, des traces de passages immémoriaux :
Les grands chemins
Violence infinie
La mer a brodé ma douleur
Des ses antiques dentelles
Silence infini
J’ai goûté, au vent du désert, la douceur
Du lait des chamelles
Patience infinie
La montagne a illuminé la pâleur
De ses neiges éternelles
Errances , espérances infinies
Le marin, le nomade , le sherpa
Avancent lentement les yeux dans les étoiles