Ben non, Rutabaga... Un seul accès par village ou quartier, c’est de la mutualisation des outils, c’est créer du commun, c’est diminuer le nombre d’ordinateurs en circulation, diminuer les coûts d’abonnements, créer les conditions de développement du lien social. La surveillance n’a rien à voir là-dedans. C’est très simple de contrôler Internet. Un gouvernement peut rendre des sites inaccessibles, comme la Chine le fait, et le nombre de points d’accès ne change rien à ce niveau. Il y a 25 ans, quand les ordinateurs coûtaient la peau des fesses, quand un routeur et un abonnement coûtaient (...)