Camille, pouvez-vous nous éclairer sur le niveau de décroissance radicale que vous préconisez ? Pour l’électricité par exemple, combien cela représente-t-il de kWh/an et par personne (en comptant évidement en plus des besoins domestiques minimaux, les crêches, les bureaux de poste, les hopitaux... et en divisant par le nombre de Français)
De quelle solution low-tech de production d’énergie parlez-vous ?
Enfin, pourquoi espérer qu’un industriel soit plus vertueux qu’un autre ? Je ne vois par exemple ici aucune critique de l’industrie agroalimentaire qui se gave de profit, et rend ses (...)