Bon sujet auquel je vais apporter d’autres éléments de réflexion. Il est toujours possible à la faveur d’une occupation tolérée, par exemple dans le cadre d’un mouvement national comme celui d’occupation des lieux culturels, ou à la suite d’une occupation illégale (ZAD ou squats) d’accoucher de lieux de vie collective, de rencontres et de réflexion. On peut y créer des réseaux de solidarité plus ou moins solides dans le temps, on peut y organiser des actions directes/de propagande/de revendications. Mais un moment vient l’expulsion et il faut alors tout recommencer, ou presque, ailleurs, (...)