J’ai même cru voir des enfants peinturlurés entrainés par un furet monstrueux dans une cavalcade rocambolesque dans les ruelles, hululant leur réappropriation de la ville ; et d’invicibles femmes-lierre s’enrouler autours des platanes en guise de revendication printanière.
Et il paraitrait qu’un membre des forces de l’(in)sécurité aurait mordu à l’orteil un saxophoniste trop enjoué, à moins que ce ne soit l’inverse ?
Qui sait ... peut-être des illusions carnavalesques ...