De la démocratie néo-libérale au fascisme.
"La peur est mauvaise conseillère, mais elle fait apparaître de nombreux éléments qu’on pouvait faire semblant de ne pas voir. Le premier élément que la vague de panique qui a paralysé notre pays montre avec évidence, c’est que notre société ne croit plus en rien sinon à la vie nue. Il est clair maintenant que les Italiens sont disposés à tout sacrifier ou presque : leurs conditions normales de vie, leurs rapports sociaux, leur travail et jusqu’à leurs amitiés, leurs affections ainsi que leurs convictions religieuses et politiques pour ne pas (...)