Merci « simon-1 » pour ces conseils.
Mais là il s’agissait d’un coup de colère et d’une envie d’ironie un peu provocatrice, pas de rhétorique. D’autre part, dans ce cas et dans la situation qui est la nôtre, je n’y crois plus à la rhétorique ni à une possibilité de convaincre. En effet, si les gens ne sont pas « convaincus » à se révolter par la réalité criante des faits qui s’accumulent depuis la nuit des temps, toutes les meilleures rhétoriques du monde non provocatrices n’y pourront rien de mieux. Du coup, j’ai plus envie de prendre des gants, de brosser dans le sens du poil pour « (...)