« Mes camarades et moi, nous avons même pillé les ordinateurs qui donnaient au jour le jour au système mondial les directives venues de tout en haut pour traiter l’information. » Ma propre formulation est maladroite. Elle a une tournure « complotiste ». Le « système mondial » dont je parle est celui relayant au jour le jour, partout sur la planète et évidemment d’abord en Chine, les directives émanant du ministère de l’information, situé à Pékin, en prise directe avec le secrétariat permanent du bureau politique du PCC (l’ultra centre) : ce système, c’est l’ensemble du système (...)