Merci de ton autocritique (le terme est un peu miné, mais sans mauvaise intention), ce qui me permet de ne pas à avoir à faire moi même l’autocritique de ma propre critique que j’avais l’intention de faire, puisque tu t’en charges.
Il y a une chose qui m’a retenu dans ce texte, si on veut bien le prendre sur un autre niveau que le plan pratique, où à coup sûr, il est inacceptable. C’est l’espèce de folie qu’on y sent et que je respecte beaucoup, comme il eut de la folie chez les Possédées de Loudun, la Religieuse de Diderot et ces femmes enfermées dans des couvents jusqu’à la folie par (...)