merci pour la suite -trop peu connue- du poème (bien qu’il soit de notoriété publique que ladite rose était une licence poétique courante à l’époque pour désigner le sexe féminin ; certaines chansons de cour frôlent d’ailleurs souvent le licencieux -le tout étant tout de même destiné à un public adulte, l’âge adulte débutant à l’époque à 15 ans)...
et si j’ai bonne mémoire, ce poème de Ronsard n’est enseigné qu’à partir du collège...
alors qu’il est des exemples de ’tromperie’ des plus candides beaucoup plus révoltants : que dire par exemple du célèbre, « il court, il court, le furet (...)