Je ne décide pas d’aider les femmes encore moins de les protéger, je n’ai pas le pouvoir, juste le libre arbitre de lutter pour l’égalité des droits, de ressentir des injustices et de lutter contre elles et cela en tant qu’être humain pas en tant qu’homme. Au planning familial ma voix compte pour 1 personne ni plus ni moins, notre engagement commun et notre écoute mutuelle dépasse tout ressentiment universalisé pour un objectif commun. L’éducation populaire fait plus avancer les consciences qu’un replis identitaire quel qu’il soit...