« On en revient toujours à se demander quelle place laisser aux hommes », s’agace Léonore Porchet, conseillère communale lausannoise verte.
« Nous menons une révolution pour réclamer une part du gâteau. Des hommes devront renoncer à des privilèges, ce n’est pas un combat main dans la main. Que ceux qui sont solidaires cessent de nous dire comment faire et prennent plutôt leur bâton de pèlerin pour convaincre les autres. Moi j’en ai marre de devoir faire de la place aux hommes ! »